Ok je continue, il y a certainement des degrés ou des niveaux de conscience qui permettent à l’homme d’être victime, si vous voulez, ou d’être conscient même ou de vivre l’expérience du caractère inquisitionnel des plans. Plus un homme est conscient des plans, plus un homme a une conscience occulte, plus il en arrive éventuellement à être dans, à être conscient de ceci. C’est un fait de vie ça, moins l’homme est conscient, moins il a conscience du caractère inquisitionnel des forces. C’est comme un couteau à deux tranchants, si tu n’es pas conscient des forces, tu ne subis pas le caractère inquisitionnel.
Si tu es très conscient des forces, contrairement à ce que les gens pensent ou peuvent penser, si tu subis plus le caractère inquisitionnel. C’est un petit peu comme un gars qui travaille dans une compagnie ça. Si vous avez un grand boss dans une compagnie, puis que vous êtes laveur de planchers, vous allez sentir moins la pression du grand boss, mais si vous êtes vice-président de la compagnie, si vous êtes dans le cercle administratives si vous voulez, vous allez avoir, vous allez sentir plus la pression du grand boss, parce que vous allez avoir affaire à lui, vous allez être plus près de lui, vous allez avoir plus de chances de communiquer et puis de vous entretenir avec sa personne.
C’est un petit peu la même chose au niveau occulte. C’est évident qu’un homme qui a une grande conscience des plans, qui a une grande télépathie avec les plans, vit cette proximité-là à un niveau qu’en général l’homme ne connaît pas. C’est pour ça que tirer des conclusions de cette expérience-là, c’est valable universellement, c’est valable à différentes échelles, mais ce n’est pas nécessairement valable pour tous les hommes, parce que les hommes, même s’ils sont conscients des plans, ils peuvent être conscients des plans philosophiquement, ils peuvent dire ça existe de même, ça marche comme ça la vie.
Mais d’être réellement conscient sur une base de 1 pour 1 des plans, et bien ça, ça fait partie de l’expérience de certains individus et puis ceux qui le vivent comme moi je le vis, peuvent tirer des conclusions utiles pour l’être humain qui un jour deviendra plus conscient des plans et automatiquement vivront ce caractère contestataire de cette relation. Et ça va très, très, très loin ça, c’est pour ça d’ailleurs que des initiés, des gars par exemple des hommes comme moi, par exemple- on a des volontés, on a des volontés abominables, on a.
Pourquoi ?
Parce qu’on a été amenés pendant des années puis des années à combattre des forces très puissantes, puis graduellement les amener à les maîtriser, puis les amener sous notre contrôle, parce que c’est évident que ça nous donne des volontés, ça nous donne de grandes volontés puis ça nous rend, sur le plan psychologique, presque invulnérables parce qu’on a été entraînés par initiation à combattre les forces occultes. Mais pour l’homme en général, c’est la même chose mais à son niveau, selon son expérience et ainsi de suite.
Et c’est dans le cadre de ces expériences réduites-là que je veux vous parler, parce que mon expérience ne va pas nécessairement vous servir. Mais le corollaire de mon expérience, ses aspects un petit peu plus quotidiens qu’on trouve dans la vie de tous les jours peut vous servir, puis c’est ça que je veux mettre en lumière dans la 2ième partie de la conférence.
Où l’homme normal peut sentir, le caractère bien que diminué, le caractère inquisitionnel des plans, bien que diminué, c’est dans la répétition, la répétition des événements. Si vous avez des événements dans votre vie qui se répètent, puis qui se répètent puis qui se répètent, vous avez tendance à perdre vos jobs, vous avez tendance à perdre vos blondes, vous avez tout le temps tendance à perdre, perdre, perdre, perdre, vous n’êtes pas capables autrement dit de vous enrichir.
Vous n’êtes pas capables de stabiliser vos conditions, à un niveau ou à une autre, vous êtes toujours en perte, puis en perte, puis en perte. Vous n’êtes pas capables d’agrandir votre surface d’influence dans la vie et puis de réellement prendre un petit peu plus contrôle d’une plus grande partie de la tarte sociale. Si vous n’êtes pas capables de faire ça c’est parce que justement, vous vivez à votre niveau, à un certain niveau d’inconscience, le caractère inquisitionnel des plans. Et vous devez ajuster ça parce que si vous ne l’ajustez pas, vous allez continuer au cours de votre expérience à vous appauvrir, vous allez continuer à perdre, ce qui équivaut pour vous autres à une perte de contrôle sur votre vie, vous allez toujours demeurer des êtres en voie d’expérience et puis vous allez toujours chercher à améliorer votre sort, sans jamais pouvoir l’améliorer.
Que l’homme cherche à améliorer son sort, ça c’est une chose, je n’ai rien contre ça, c’est normal et puis c’est très bien. Mais qu’il en arrive à le faire un jour, vous ne pouvez pas constamment chercher à améliorer votre sort, puis ne pas sentir un jour que finalement dans votre Ferrari, vous la prenez la curve (Courbe), au lieu de toujours débarquer, le monde arrive dans la curve (Courbe), puis débarque, puis il débarque, puis il débarque, vous n’en arrivez jamais à rentrer dans la curve (Courbe) là et puis la prendre la curve (Courbe), puis prendre de la vitesse, sentir que vous l’avez finalement pris la curve (Courbe).
Puis de temps en temps vous avez des illusions, et là vous pensez que vous l’avez pris la curve (Courbe). La fille, elle rencontre un gars qui est riche, elle pense qu’il l’aime là, elle pense qu’elle a pris la curve pour s’apercevoir deux ans plus tard qu’il jouait simplement une game (Jeu), même chose pour le gars qui a un job (Travail), il pense qu’il l’a le job là, pour réaliser que deux ans plus tard, ben il ne l’a pas le job. Facque la curve (Courbe) on n’a jamais le sentiment qu’on la prend, puis qu’on l’a réellement prise. Il faut le regarder ce côté-là, la curve (Courbe).
Pourquoi on n’a pas le feeling (Sentiment) solide qu’on l’a prise la curve (Courbe) finalement ?
Puis la raison qu’on n’a pas le feeling (Sentiment) solide, c’est parce qu’on n’a pas changé de tire (Pneu). Faut que tu changes de pneus pour prendre la curve (Courbe), c’est glissant là. Faut que tu changes de pneus. Puis le gars il pense qu’il est capable de prendre la curve parce qu’il est un bon conducteur seulement, ou parce qu’il a un bon char seulement, puis le côté le plus simple de toutes les problèmes c’est le crisst de tire, il faut que tu changes les pneus.
Changer les pneus au niveau de notre vie puis de notre expérience, ça veut dire changer notre façon de dealer (Marchander) avec l’événement. Facque quand la fille qui a rencontré un homme, elle tombe en amour, elle est folle comme de la marde, elle est heureuse-là, tu lui parle et que tu vois que les yeux scintillent, tu n’as pas besoin d’aller loin. Lundi matin quand elle rentre au bureau-là, t’as rien qu’à regarder, tu sais si elle a eu une belle fin de semaine, elle flotte on cloud nine (Sur un nouveau nuage).
Même chose pour le gars, il l’a le job, là il va être créatif là. Mais elle n’a pas changé sa façon de penser la fille, elle n’a pas changé ses tires, puis ils savent eux autres en haut qu’elle n’a pas changé ses tires, elle le pense mais eux autres ils savent qu’elle n’a pas changé ses tires. Ils connaissent le gars, ils savent le gars qu’ils ont mis sur sa route, puis une fin de semaine, elle va s’apercevoir qu’il y a eu des changements, puis il n’est plus intéressé à elle et puis-là elle tombe en dépression, elle c’est son affaire, son pneu c’est sa dépression. Elle tombe toujours en dépression quand elle rencontre un gars et que ça ne marche pas.
Je vous donne un exemple. Ça c’est son pneu, il va falloir un jour qu’elle change de tire puis qu’elle dise « qu’il mange de la marde, un de perdu dix de retrouvés ». Tant qu’elle n’aura pas changé son tire (Pneu), elle ne pourra jamais prendre la curve (Courbe). Le gars, c’est la même équivalence au niveau du job, puis c’est comme ça pour tout le monde. On ne change réellement pas nos pneus, puis je pourrais vous dire que la plupart de nous autres on roule sur des pneus à fesses. Puis quand je regarde, moi je connais bien du monde, puis je n’ai pas besoin d’avoir un cours classique pour vous savoir, j’ai rien qu’à vous regarder, puis laissez-moi vous dire qu’on roule réellement sur des pneus fessiers.
Moi je vous l’dis pas parce que ce n’est pas de mes affaires, puis je suis pas voyant moi, c’est pas mon job d’être voyant. Mon job moi c’est l’instruction, mais j’en vois des pneus, puis des drôles de pneus. Parce que quand je regarde toute l’affaire de la vie, puis l’affaire de prendre la curve (Courbe), je le sais moi quand il y a du monde qui me disent « ah j’ai eu un bon job en fin de semaine », ou ils rencontrent une fille formidable ou la fille elle dit « j’ai rencontré un gars au boute », je ne regarde rien qu’une chose moi, le tire (Pneu), tout de suite.
Puis comme je suis voyant, ben je peux dire, dans un an, dans deux ans, ça va sauter, dans deux mois ça va sauter. Je ne me trompe jamais, ça saute tout le temps, puis la personne elle n’arrive jamais à prendre la curve (Courbe). Ça c’est notre problème, le monde. On ne change pas de tire (Pneu), c’est-à-dire qu’on ne change pas notre façon de traiter avec l’événement, puis tant qu’on ne fait pas ça, la relation entre nous autres et les plans, va demeurer une relation inquisitionnelle. Ils vont nous en mettre en autre dans le chemin, un autre gars dans le chemin, un autre job dans le chemin, puis tu ne sens pas de progression. Puis la plupart des êtres humains sur la Terre qui vivent dans une conscience relative aux événements comme ça, tu ne sens jamais la progression
Moi j’ai été bien, bien malade, je suis mort je ne sais pas combien de fois dans ma maladie, mais je change de pneus moi, puis un jour ben, je prends l’affaire sous mon contrôle. Je change toujours de pneus, je suis toujours en train de changer mes pneus, moi je passe mon temps à regarder mes pneus. Un jour, vous regardez votre moteur, vous gardez votre char (Auto) il est-tu beau, la couleur, moi c’est les pneus que je regarde, je les regarde tout le temps. Comment sont mes pneus aujourd’hui ? Puis là c’est rendu j’ai des crisst de bons pneus là.
Vous autres, vous avez des beaux chars (Auto), gros moteur, mais vos pneus sont sur les fesses. Moi j’ai peut-être un petit bazout (vieille auto), mais je prends la curve (Courbe). Alors c’est bien important de comprendre ça parce qu’on a tous la chance d’avoir des vies agréables. Puis les gens qui ont commencé à prendre la curve (Courbe) je les sais, je les identifie, je peux dire : « bon ben elle, elle a commencé à prendre la curve (Courbe), elle sait qu’est-ce que c’est prendre la curve (Courbe), elle en a réglé une partie de cette affaire-là », puis ça se sent quand on a des pneus, ça se sent quand on a l‘affaire du contrôle, right (Droite. Hein, ça se sent, c’est ça, et puis quand on ne l’a pas ça se sent aussi. Puis moi quand je rencontre des gens, puis ils l’ont pris le courant, c’est le fun, c’est le fun parce que, après ça, je me dis ben au moins là, ils commencent à vivre.
Ce n’est pas votre relation avec moi qui est importante dans la vie, c’est que vous autres, vous soyez capables de vivre, puis vivre une vie qui vous est de plus en plus agréable. Tout ça pour moi c’est important là. Je ne dis pas de ce que vous pensez de l’instruction, mais j’ai le plaisir d’avoir du monde qui finalement ils la prennent la curve (Courbe), tout change quand ils prennent la curve, les femmes deviennent belles, les femmes s’arrangent, les hommes ont la force, les hommes ont dû pep, et puis il se passe quelque chose dans les corps subtils, la personne change, il y a une vivacité qui se crée, il y a une nouvelle synergie. Mais la raison pour laquelle on ne change pas de pneus, c’est parce qu’on est dans l’illusion, on est dans l’illusion que les pneus vont changer avec le temps, puis les pneus ça ne se change pas avec le temps, il faut que ce soit nous autres qui les changent. Ce ne sont pas les autres en haut qui vont les changer les pneus, c’est nous autres qu’il faut qu’ils les changent les pneus.
Puis les changer, ça demande une sorte de volonté, dépendant votre expérience là, ça demande une sorte de volonté, c’est-à-dire une capacité de nous désengager de la façon qu’on opérait avant. Si vous n’êtes pas capables de vous désengager de la façon dont vous opériez avant, vous restez toujours avec les mêmes pneus, donc tu ne peux pas progresser, tu ne peux pas la prendre la curve (Courbe). Ce qui nous empêche de changer notre façon d’opérer avant, c’est parce qu’on ne se regarde pas. Bon, on regarde les autres, on regarde les circonstances, ce n’est jamais de notre faute, ce n’est pas nous autres qui ont fait l’erreur, c’est la vie, c’est les plans, c’est les forces, c’est l’autre. C’est toujours l’autre, mais ce n’est pas nous autres. Quand ça va être réellement vous autres, qui avez fait l’erreur, autrement dit qui n’avez pas été intelligents, à ce moment-là vous allez commencer à changer vos pneus.
Mais tant que vous n’allez pas réaliser que c’est vous autres le point, le point faible dans toute la matrix, vous ne pourrez pas changer vos pneus, donc vous ne pourrez pas prendre la curve (Courbe). Parce que il y des grandes illusions dans cette incapacité-là, surtout quand on a une conscience occulte, parce que quand on a une conscience occulte, on est conscient des plans, on a même une communication télépathique avec les plans. Puis quand on a une communication télépathique avec les plans, on peut facilement s’enfarger (Trébucher), c’est-à-dire penser que ce sont eux autres qui nous créent les conditions et puis c’est vrai, qu’ils les créent. Mais le point n’est pas là, ils les créent parce qu’on a des conditions énergétiques qui leur permettent de les créer. Ils utilisent notre énergie pour créer les événements.
Les plans utilisent toujours votre énergie pour créer les conditions de votre expérience, les conditions de votre existence. Si vous êtes gêné quand vous rencontrez quelqu’un, ça c’est en vous, ça fait partie de votre problème, ils vont vous créer des conditions qui vont refléter ça, si vous êtes jaloux, ils vont vous créer les conditions pour refléter ça. Parce que ce n’est jamais les plans, c’est toujours nous autres, puis ce n’est pas évident la différence entre les deux. Ce n’est pas évident la différence entre nous autres et puis les plans, puis la preuve que ce n’est pas évident la différence entre nous autres et puis les plans, c’est quand on se parle.
Autrement dit, quand on pense, on pense toujours en Je. Là c’est plus facile de parler en Je puis en Tu parce que ça se dépolarise le mental avec le temps, mais pour l’homme-là c’est en Je qu’il pense, alors que si l’homme était réellement conscient de la multidimensionnalité de sa conscience, il pourrait facilement passer de penser en Je à penser en Tu, il aurait de la communication et puis à ce moment-là et ben il pourrait avoir une explication de son état.
Pourquoi est-ce que je suis jaloux ?
Ben à ce moment-là les plans pourraient lui dire ben t’es jaloux pour telles, telles raisons.
Il pourra voir l’illusion, il pourra changer son pneu. Mais si l’homme n’est pas capable, pour le moment, d’accéder à cette communication-là, autrement dit avoir une information sur son cas à partir des plans, qui est une information objective, à ce moment-là ça devient plus difficile pour lui de changer son pneu, parce qu’il n’est pas capable de s’imaginer être de même, ou il ne veut pas se l’admettre. Une personne qui est jalouse, elle ne va pas l’admettre facilement qu’elle est jalouse, c’est toujours l’autre qui la rend jalouse, hein. C’est l’autre qui te rend jaloux, ce n’est pas toi qui est jaloux, ben non.
C’est l’autre qui me rende jalouse, s’il ne sortait pas avec d’autres femmes, je ne serais pas jalouse. Mais si l’homme avait un contact avec les plans, puis elle irait par en dedans, elle dirait bon bien je suis-tu jalouse ? Les plans pourraient dire oui, oui, tu es jalouse, puis si la personne pouvait ou voulait aller plus loin là-dedans, et dire bon ben.
Pourquoi est-ce que je suis jalouse là ?
Le plan pourrait lui dire mais c’est moi qui te rends jalouse.
Pourquoi est-ce que tu me rends jalouse ?
Parce que j’ai déjà été ton mari dans une autre vie.
Ah, là ça commence à être clair et net. Donc à ce moment-là ben tu commences à changer de tire (Pneu). Parce que ça va loin l’affaire du tire (Pneu), puis changer de tire (Pneu), puis :
Comment est-ce qu’on peut changer de pneus ? Comment est-ce qu’on peut changer de façon de penser ?
Ça va loin, ça va jusque dans l’occulte du moi, jusque dans l’occulte de la conscience, dans le tréfonds des forces de l’âme qui nous manipulent constamment, parce que ça fait partie de l’expérience de l’âme. Ça ne fait pas partie de l’esprit, ça ne fait pas partie de la présence de l’esprit, il n’y a aucun homme dans son esprit qui peut être jaloux. Ça ne rentre pas dans l’esprit ça, ça ne fait partie de l’esprit ça être jalouse ou jaloux. Dans l’esprit il n’y a pas de faiblesse, il n’y a rien que de la Lumière. Dans l’âme, c’est plein de faiblesses. L’âme c’est un computer, c’est plein de circuits, plein de patente.
Dans l’esprit ça n’existe pas ça, c’est global, c’est intégral l’esprit c’est de la Lumière, l’esprit parce qu’une fois que tu es rentré dans ton esprit, c’est facile pour toi de changer de curve Courbe), prendre la curve (Courbe), c’est une affaire de rien. Mais pour en arriver là, il faut que tu aies maté l’âme, il faut que tu aies pris conscience des mécanismes profonds qui t’enlèvent ta Lumière, ton focus et qui font de toi toujours un être en conscience expérimentale et qui automatiquement t’assujettissent aux forces dominantes donc inquisitionnelle des plans. De là vient la souffrance humaine, puis la répétition, qui n’arrête pas, de nos souffrances.
Puis regardez vos vies là et vous allez voir que la vie c’est une traque, puis qu’on est sur cette traque-là pour un bon bout de temps. Il y a du monde ils sont sur la même traque pendant 15 ans, 20 ans, il y a du monde qui est sur la même traque pendant toute leur vie, ce n’est pas une crisst de joke (Blague) d’être sur la même traque toute sa vie. Ça c’est comme aller de Montréal à Vancouver forever (Pour toujours), c’est plate, alors que l’homme devra constamment changer de traque, changer de traque, changer de traque, puis ainsi de suite. Puis il y a du monde qui est toujours sur la même traque, c’est abominable d’être sur la même traque, ça c’est de l’âme, parce que quand t’es de même, ben évidemment tu ne peux pas changer, puis tu ne pas prendre ta curve (Courbe, puis tu ne peux pas changer de pneus, puis tu es réellement « petit cul » un minus forever (pour toujours) ça on appelle ça des vies plates là, c’est la petite vie, la télévision là, c’est ça.
Mais ce n’est pas en regardant la télévision que la petite vie on est dedans, parce que si on n’en arrive pas réellement à voir que c’est nous autres le problème, on ne changera jamais nos pneus, puis si on n’est pas capable d’accepter que des gens nous le fassent voir notre problème, ben là on a réellement un gros, gros, gros problème. Que tu ne voies pas ton problème tout seul, OK, mais quand quelqu’un te le montre et que tu ne le vois pas, là tu as un gros problème. Puis vous allez dire, bon ben si je parle aux plans, les plans vont me l’expliquer mon problème. Pas nécessairement, d’abord ça dépend avec quel plan vous êtes en communication ; si vous êtes en communication avec une entité astrale, probablement qu’elle ne vous le dira pas parce que l’entité astrale c’est très, très cachottier. Une femme qui serait très, très jalouse-là puis qui ira dans sa tête puis qui dira :
C’est tu toi qui rends jalouse là ? C’est toi qui rends jalouse là ?
Probablement qu’elle vivra du silence intérieurement, il n’y aura pas de réponse, l’entité essaiera de se cacher dans le silence. Puis les entités se cachent dans le silence, puis pas seulement les entités astrales se cachent dans le silence, même les entités de haut niveau. Puis je vais vous en parler de ça, peut-être que je vais vous faire une conférence un jour sur la cachette-là, le fait de se cacher dans le silence. Moi il essaye ça de temps en temps, de se cacher dans le silence ; Je te dis que je les sors de là, ce n’est pas long moi crisst, ça ne nous a pas parlé pendant toute notre vie, là quand ça commence à nous parler ça nous rend conscients, puis quand on devient smart (Gentil) et qu’on commence à réellement les contester, ça retombe dans le silence encore.
Je te dis que je leur brosse le cul moi, mon sacrament. Parce que moi je ne traite pas avec eux autres comme vous autres, ce n’est pas de la petite fumée moi, puis ça, ça fait tout partie de casser le caractère inquisitionnel qu’ils ont sur nous autres. L’homme devra toujours se méfier des entités, tout le temps. Se méfier des entités ça ne veut pas dire qu’elles n’existent pas, ça ne veut pas dire qu’on ne doit pas parler avec, ça ne veut pas dire qu’on n’a pas une relation avec, une liaison avec. Se méfier des entités, ça veut dire qu’ils ont un agenda différent de nous autres. Ils ont un agenda en opposition avec notre corps de désir. Ils sont là pour nous faire évoluer eux autres, on parle des hautes entités là, ils sont là pour nous faire évoluer. Nous autres on est là pour les dominer, puis dominer notre vie ça veut dire se dominer soi-même. Quand tu domines ton entité c’est parce que tu domines toi-même, tu domines les aspects de ta personne qui ne sont pas intelligents. Si l’homme dominait les aspects de sa personne qui ne sont pas intelligents, l’homme ipso facto dominerait l’entité en lui, même l’entité de haut niveau.
Donc à ce moment-là vous vous sauriez intelligent, vous vous sauriez en vibration de conscience, vous vous sauriez en volonté, vous vous sauriez ceints de votre propre Lumière. Puis vous auriez de la communication avec l’entité dans la mesure où ça fait votre affaire et puis vous sentiriez de moins en moins la domination de l’entité donc son caractère inquisitionnel.
Pourquoi ?
Parce que son job serait fait, serait fini.
Mais se méfier de l’entité, c’est probablement la chose la plus difficile à l’homme parce qu’on a tendance à les percevoir comme étant des êtres bénéfiques, mais dans le sens humain du terme, ils ne sont pas bénéfiques dans le sens humain du terme, ils sont bénéfiques dans le sens cosmique du terme, ce n’est pas pareil. Aucune entité n’est bénéfique à l’homme dans le sens humain du terme, astrale encore pire, une entité de haut niveau, comme un ajusteur de pensée, c’est la même chose, n’est pas bénéfique dans le sens humain du terme mais dans le sens cosmique du terme. Le côté humain de la relation doit être développé et amené sous le contrôle de l’homme et ça, ça fait partie du pouvoir de briseur du caractère inquisitionnel de l’entité, ça on appelle ça la fusion, l’intégration de la fusion, pas juste la fusion, l’intégration de la fusion, l’équilibre entre l’homme, entre le mortel et puis l’entité. Ça c’est l’évolution, ça fait partie de l’évolution, ça fait partie de l’évolution et du développement d’une race mentale, c’est-à-dire d’une race qui comprend parfaitement les mystères de l’homme. L’homme doit connaître parfaitement son mystère.
L’homme connaîtra parfaitement son mystère, mais il faut qu’il se libère une fois pour toutes de l’affection, la moindre affection qu’il peut avoir pour une entité, parce que pour une entité, l’affection humaine c’est encore une forme de spiritualité, alors qu’un être humain techniquement doit être très, très, très froid par rapport à une entité, c’est-à-dire ne lui offrir aucune émotion, aucune spiritualité, aucune faiblesse involutive. C’est une faiblesse pour une entité la spiritualité, je parle d’une entité cosmique là.
Quand on a un contact avec eux autres, quand on est en contact avec eux autres. Je vous donne un exemple pour expliquer, parce que ça devient un petit peu trop subtil. Supposons qu’un homme a un contact avec une entité et puis il va dire, bon ben, j’aimerais ça gagner à la loterie la semaine prochaine, je donne un exemple stupide pour simplement expliquer le problème, puis la semaine prochaine le gars, il gagne à la loterie, bon ben il gagne 165 mille piastres, la réaction instantanée de l’homme, à cause de sa spiritualité, ça va être de dire : tu es bien fin je te remercie. On peut aller même jusqu’à les remercier.
Dans l’involution on remerciait Dieu, dans l’évolution aujourd’hui, on peut même remercier une entité. Ça, ça fait encore partie de notre conscience spirituelle, tandis qu’un homme qui est bien, bien, bien, bien avisé, qui connaît les lois occultes va dire : mange de la marde, il n’y a rien là, tu me dois mon plein de marde. Comprend-tu ce que je veux dire, je vous donne un exemple là, pour expliquer le fait qu’il ne doit pas y avoir des émotions entre le mortel et l’entité. Parce que l’émotion, ça fait partie de la subjugation des forces de l’âme au pouvoir de l’esprit. C’est un corollaire de ce qu’on appelle l’inquisition occulte contre l’homme. Thecker (Vérifier) les avec les autres après, ils vont me dire : t’as entièrement raison. Jamais ne je les remercierai moi, qu’ils mangent de la marde, je les hais assez que rien qu’à y penser, je change ma vibration. Jamais je les remercierai, ça c’est l’involution ça. Ça c’est le temps pendant lesquels, les années, les siècles, pendant lesquels l’homme était petit cul devant la création, qu’ils mangent de la marde.
Excusez si ça va en France. C’est pour ça qu’il y a bien du monde-là, il y a beaucoup d’ésotéristes et puis des gens qui s’occupent des sciences occultes qui ne sont pas contents de moi parce que je ne suis pas fin moi tu sais. Je suis allé dans une librairie dernièrement, je suis entré là-dedans là, il y a de l’encens là-dedans là, des gring-gringues, des triangles, des pyramides, sacrament tu rentres là-dedans-là, je te dis, tu les voies les entités sont toutes assises. Moi j’ai dit : Je ne pourrai jamais rentrer mes livres là-dedans, je vais énerver tout le monde. C’est réellement des places où mes livres devraient rentrer puis, je ne les rentre pas mes livres, et c’est onctueux là-dedans, et puis ça touche à bien des régions.
Il y a une petite femme, je ne peux pas vous dire où là, il y a une petite femme qui a ouvert un magasin, qui vient d’ouvrir un magasin d’aliments naturels là. La spiritualité, elle abonde tellement que ça ressort de ses oreilles, c’est incroyable. Puis quand tu rentres dans le magasin là, les yeux s’allument « Bonjour mon petit Monsieur », moi je ne dis rien, « Bonjour mon petit Monsieur », puis-là elle me sert de ce que je veux là, puis quand je pars, elle me dit : Belle journée magique. Je me retourne de bord, bonne journée magique. Puis je ne peux pas lui dire ça, faut pas que j'y parle c’est sa vie, c’est sa vie, puis je ne peux pas lui donner de chocs, puis elle est bien fine. Mais c’est abominable, parce que ce monde-là, ils sont bien fins mais faut pas trop les brasser. Je dois être bien satanique pour eux autres, je dois être abominable. Bernard de Montréal, ah, ça, ça les énerve.
Pourquoi ?,
Parce que je leur enlève tout ça, qui nous a sucé pendant des siècles, puis des siècles, puis des siècles, puis des siècles.
Il va falloir qu’un jour que l’homme lui-même, individuellement se sorte du système. Il n’y a personne pour vous sortir du système, il faut vous sortir du système. Alors ne vous demandez pas pourquoi on est très, très dominés par les entités, puis qu’on a de la misère à les contrôler, contrôler notre vie, ils sont très inquisitionnel quand on les connaît, parce que ça fait partie de notre aveuglement. Toi tu donnes des conférences hein. Tu rends tu les gens conscients de ça dans tes conférences. C’est bien important les gens comme vous autres qui donnez des conférences. Si vous allez donner des conférences à du monde, que vous avez déjà le pouvoir de la parole, il faut que vous soyez capables vous-mêmes aussi, de prendre conscience de ça pour aider l’homme à se libérer des plans.
(Intervention du public).
Effectivement, par contre il faut que vous soyez conscients de ces éléments-là, pour, c’est évident que vous ne pouvez pas aider le monde, plus qu’il sert, ça c’est évident, mais il faut que ça fasse partie de votre conscience ça, parce que si vous avez des grands êtres, puis si vous avez une parole, puis si vous avez une belle conscience, il faut que cette conscience-là soit utilisée à son maximum et ça c’est pour libérer l’homme. Pour libérer l’homme. On a été trop dominés.
Et puis, on est chanceux au Québec, on a des gens comme lui, il y en a certainement d’autres qui sont capables de parler en public, puis d’amener, de rendre l’homme conscient des trappes occultes. Il n’y en a pas assez de monde qui le font. Puis c’est un petit pays le Québec dans le monde. L’inquisition des entités, ça fait partie de 4 plans, ça fait partie du plan astral, ça fait partie du plan mental, ça fait partie de la vision de ce qu’on appelle les mondes célestes, puis ça fait partie de la domination des intelligences qui sont en relation avec l’homme depuis l’incarnation et le début des incarnations, parce que ça va très loin.
Le phénomène du mal, de la souffrance sur la Terre, le phénomène Luciférien, Satanique sur la Terre, le phénomène de l’amour non compris, le phénomène de la spiritualité sur la Terre, la condition existentielle planétaire du globe terrestre, le manque d’intelligence universelle, cosmique, intégrée sur la Terre, est tellement vaste, tellement vaste que jamais dans l’histoire physique de notre monde, l’homme deviendra parfaitement libre. Ça ne se produira jamais ça. Ça se produira sur les autres plans, et si ce que l’homme vit présentement, ce que l’homme vit depuis des siècles, ce que l’homme vivra avec les siècles à venir, ce sera simplement l’ajustement du taux vibratoire de sa conscience, de sa conscience planétaire, c’est-à-dire l’ajustement des forces de l’âme pour en arriver éventuellement à pouvoir bénéficier d’une intelligence qui est finalement libérée du connu.
Libérée du connu, ça veut dire quoi ?
Ça veut dire, libérée de ce que vous sentez. Pas seulement le connu intellectuel, mais ce que vous sentez en tant qu’être parce que ce que vous sentez en tant qu’être, par rapport à l’invisible, vos réactions humaines, viscérales, émotionnelles, spirituelles, par rapport à l’invisible, ça fait partie du connu. Ça fait partie de ce que vous avez déjà expérimenté. Ça fait partie de ce que l’humanité a déjà expérimenté et l’homme doit un jour se sortir complètement du connu, c’est-à-dire s’exorciser littéralement, littéralement du lien affectif qu’il exerce avec les entités, de quelque niveau que ce soit, à travers son émotion c’est-à-dire sa conscience spirituelle.
À partir de ce moment-là, l’homme deviendra libre et il deviendra un exécuteur au lieu d’un exécutant, c’est-à-dire que lui écrira sur la Terre, même dans son corps matériel, les lois cosmiques de la vie et les dispositions nécessaires pour l’humanité à venir, en tant qu’individu, pour l’humanité à venir, comment vivre, comment exprimer sa conscience, comment exprimer sa science et comment finaliser, comment finalement rivaliser avec le plan astral donc le plan de la mort. Quand ce sera réglé ça, l’homme sera libre, l’homme aura une conscience morontielle, et l’homme ne retournera plus à la chair et l’homme n’aura plus besoin sur le plan matériel de la Terre, de vivre d’expériences.
Mais pour ça, ça va lui demander une volonté infaillible, basée dans sa capacité de ne plus subir la domination des entités qui est réfléchie dans la caractéristique inquisitionnelle dans leurs mandats. Ça c’est tout pareil, il n’y en pas une crisst d’entité qui n’est pas de même. Pas les erreurs des anciens initiés parce que les anciens initiés ont eu sur la Terre des mandats très importants à vivre et à faire et à exécuter. Mais l’erreur de l’humanité, l’erreur des initiés en tant qu’êtres cosmiques, sur une planète expérimentale, ça a toujours été d’établir avec les plans parallèles, des mécanismes de disposition qui favorisaient la présence de l’entité au-dessus de l’homme. Et ça, ça a créé les religions, ça a créé les spiritualités, ça a créé les affections que l’homme a pour les mondes parallèles, pour les forces occultes, pour les anges, pour les guides spirituels, pour toute cette gang d’entités-là dont on ne connaît même pas encore aujourd’hui le mandat cosmopolitique sur la Terre.
Autrement dit on a aucune idée de qu’est-ce que sait, qu’est-ce que ça veut dire le terme : guide spirituel, ou qu’est-ce que ça veut dire le terme : ange ou archange dans le lexico fondamental de la politique cosmique universelle locale. Si on le savait, si ça faisait partie de notre science, probablement que l’homme instantanément serait détruit dans son corps physique et serait obligé de passer dans un autre temps, dans un autre espace, et venir en contact avec des intelligences dont on n’est pas prêts encore aujourd’hui à reconnaître l’existence. Il faut que l’homme en arrive un jour à constater, par sa vibration, par sa parole, par sa science, que la nature des mondes n’est pas analogue à sa conception spirituelle, à sa conception imaginaire, que les mondes font partie de ce qu'on appelle des attributs matériels de la Lumière et que tous les mondes, à quelque niveau qu’ils soient, sont une d‘une évolution plus rapide que le monde qui déjà en pensent la nature.
Ça veut dire ça qu’un homme qui pense à quelque chose, un homme qui pense à un monde, un homme qui pense à des entités ou à des intelligences, un homme qui pense à des civilisations, déjà quand il pense à elles, ces civilisations-là sont déjà dans un autre temps. Un petit peu comme les astronomes réalisent que quand ils voient la lumière, déjà les étoiles sont éteintes. Comprenez-vous ça ?. Et quand l’homme comprendra ça et commencera à comprendre ça, puis à saisir ça, l’homme s’apercevra que la connaissance n’a aucune valeur pour lui autre que si elle est vibratoire. Si elle est intellectuelle, si elle est dans une forme, si elle est contenue par un concept, elle fait partie de ses appétits humains, elle ne fait pas partie de sa puissance créative. Si elle est vibratoire, elle est infinie, et elle est la somme totale de sa puissance et elle représente dans son expérience matérialisée, le statut universel de son être multidimensionnel. Et dépendant de l’homme, dépendant de ce statut, dépendant du temps dans lequel il vit, dépendant de sa vibration, dépendant du niveau d’incarnation dans lequel il existe, dépendant de son niveau de matérialité ou d’immatérialité, cet homme-là est déjà dans un autre temps, bye.