Un phénomène qui devient de plus en plus universel surtout dans le monde Occidental, dans le monde moderne, dans le monde affecté par la modernité : le célibat. Pendant des siècles nous avons été plongés dans une culture religieuse, ensuite au 17, 18ième siècle la révolution Française, nous sommes rentrés dans une sorte de culture philosophique qui au 20ième siècle s’est mélangée avec une culture idéologique en Europe, et maintenant dans le monde à cause de la modernité, nous entrons dans une culture psychologique. Mais ce n’est pas parce que nous entrons dans une culture psychologique que l’homme et la femme se rapprochent, au contraire, l’homme et la femme vont se séparer, prendre distance l’un de l’autre et la découverte, la formation du couple, la formation intime, joyeuse, plaisante, à long terme, va devenir de plus en plus difficile dans les nations affectées par la modernité mais surtout par la culture psychologique.
Parce qu’il y a des peuples qui vivent la modernité, le Japon par exemple vit dans la modernité, mais ils ne vivent pas de culture psychologique comme nous dans l’Occident, une culture psychologique qui est extrêmement présente et qui n’est pas la solution aux problèmes du couple ou au problème du célibat. Pour la simple raison que même si dans le monde Occidental nous sommes extrêmement psychologique, nous discutons, nous parlons, nous communiquons, nous analysons, il y a beaucoup d’inconscience dans notre culture psychologique. Et c’est à cause de l’inconscience de cette culture psychologique, que les couples vont se former difficilement, et que les hommes et les femmes vont vivre de la distance pendant un certain nombre de générations, et surtout jusqu’à ce que l’homme et la femme en arrivent à s’individualiser d’une manière consciente, mais ça c’est sur une base extrêmement individuelle.
Donc on ne peut pas réellement considérer, on ne peut pas réellement considérer la psychologie par exemple évolutionnaire, que j’ai créée depuis trente ans comme étant la solution pour l’humanité, c’est une solution personnelle. Parce qu’à partir où l’homme entre dans une culture, dans une conscience psychologique évolutionnaire, qu’il développe une psychologie évolutionnaire, il commence à ajuster sa psychologie culturelle qui est extrêmement polarisée, à l’intérieur de laquelle il n’y a pas d’identité de l’individu, et à l’intérieur de laquelle les conflits qu’on veut résoudre, se repoudrent difficilement, par ce qu’il n y a pas de conscience chez l’homme, alors que dans un psychologie évolutionnaire, la conscience permettra à l’homme éventuellement de pouvoir réellement répondre à ce problème de célibat.
Mais, le grand responsable, le grand responsable du célibat dans le monde, c’est l’homme, ce n’est pas la femme. Et je vais faire une séparation ce soir entre la psychologie évolutionnaire dont je parle autrement dit le système avec lequel je travaille et la psychologie culturelle à l’intérieur de laquelle nous sommes plongés dans le monde, et qui nous crée autant d’angoisses aujourd’hui, que nous en avions il y a 25, 30, 40 ans.
Il y avait un article dans le Point, où on parle de 10 millions de célibataires en France. Qu’il y a ait 10 millions de célibataires en France ça se comprend, les Français étant aussi chiants qu’ils sont, c’est normal qu’ils ne s’entendent pas, c’est normal. Donc c’est leur problème, ils devront traiter avec ce problème-là, comme les femmes en France disent : Quand je suis seule je veux être avec quelqu’un et quand je suis avec quelqu’un je veux être seule. Alors, quelque part au cours de l’évolution il faudra que ça se règle, mais tout ça pour démontrer qu’une culture psychologique très, très développée ça menace le couple. Si l’homme, je parle surtout de l’homme parce que pour moi dans mon optique, l’homme est celui qui manque beaucoup dans sa relation avec la femme, parce que l’homme ne réalise pas que la femme est bonne, la femme en soi elle est bonne. Elle n’est pas parfaite mais elle est bonne. Tandis que l’homme lui, il est con, il est réellement con. Donc il va falloir que l’homme à l’intérieur de sa culture psychologique, s’en ligne, réalise, regarde, regarde la femme, se regarde lui-même, et en arrive éventuellement à apprendre, à aimer la femme. Mais son potentiel d’amour pour la femme, il est extrêmement réduit et extrêmement limité parce qu’il est con.
Mais pourquoi l’homme est con ?
Bon je fais une lecture comme ça vous ne m’accuserez pas d’être partial. (Rires)
Ils disent que l’homme est con parce qu’il ne sait pas ce que c’est l’amour, il pense. Il pense parce qu’il peut faire l’amour avec son machin que c’est de l’amour, il pense que c’est ça que la femme aime, c’est tout son monde l’homme est con. Ils disent l’homme n’a pas de maturité par rapport à la femme, il a de la maturité par rapport au monde, par rapport aux armements, les guerres, les systèmes, la création des grandes architectures, mais par rapport à la femme il n’a pas de maturité.
Pourquoi ?
Parce qu’on ne lui a jamais dit qu’il était con. L’Église ne lui a pas dit qu’il était con, au contraire. Dans le temps de l’Église, dans le temps de la culture religieuse, c’était lui le prêtre. Dans le temps des philosophes c’était lui le grand philosophe, le penseur. Il y a des changements dans le monde, il y a des bouleversements dans le monde. Les temps modernes. La femme qui travaille. Et la femme qui en a ras le bol se fait chier, de se faire dominer. Le problème de l’homme, ils disent : C’est la domination de la femme. Un homme qui ne domine pas la femme, qui ne la domine pas, qui échange avec elle, qui est en relation avec elle, qui respecte son esprit, n’a pas de problèmes de couple. Mais l’homme qui domine la femme aujourd’hui au 20ième siècle, 21ième siècle, à l’intérieur d’une culture psychologique il va finir sur le tas. Il va s’ennuyer ou il va courir, à 60 ans il va regarder pour voir s’il peut avoir de l’aide, parce que son corps va dépérir. Il ne voudra pas être seul à 60, 65, 70 ans, mais la femme ne sera pas intéressée à lui à 70 ans, donc l’homme c’est un con. Il faut savoir que l’homme est un con, si vous ne partez pas de cette hypothèse, vous ne comprendrez jamais la femme.
Je fais une lecture sur sa connerie :
Ils disent il est con parce qu’on ne lui a jamais démontré qu’il ne savait pas aimer, et savoir aimer à partir des plans. C’est respecter sa compagne, respecter sa femme, la respecter.
Ça veut dire quoi ça respecter une femme ?
Ils disent, ça veut dire que si tu la prends, tu n’essaies pas de lui en imposer pour qu’elle puisse elle-même sortir, manifester ses ondes, ses vibrations, son intelligence, sa sensibilité ainsi de suite.
Mais ils disent que la femme a un rôle à jouer dans toute cette situation de célibat et de ruptures des couples, puis tout ça, elle a un rôle à jouer la femme. C’est un rôle important, elle doit cesser de croire qu’elle a besoin d’un homme dans sa vie, ça ne veut pas dire qu’elle n’a pas de besoins. Mais elle doit en arriver à pouvoir être autonome. Émotionnellement, mentalement, physiquement, monétairement, la femme doit devenir autonome. Parce que si elle ne devient pas autonome la femme, elle se sentira toujours obligé de se mettre sous l’aile de l’homme, et c’est à ce moment-là qu’elle perd son lien, qu’elle perd son identité. La femme a besoin d’être autonome et là, la société moderne lui en donne l’occasion.
Ils disent : le concept du prince charmant c’est très dangereux.
Le prince charmant, ce sont des notions qui éloignent la femme de son centre, qui empêche la femme d’être autonome. Vous avez des femmes aujourd’hui qui vont dans l’espace, des ingénieurs qui vont sur la lune, qui travaillent pour la NASA, qui enseignent les mathématiques à Berkeley. La femme ce n’est pas une conne. La femme doit se prendre en main. Et elle ne se prendra pas en main par rapport aux mécanismes culturels de l’involution, culture religieuse, culture philosophique, culture idéologique ou culture psychologique atrophiée inconsciente, la femme va se prendre en mains lorsqu’elle aura réellement compris l’importance de l’autonomie. Ce n’est pas parce qu’une femme est autonome qu’elle ne peut pas avoir d’homme dans sa vie, qu’elle ne veut pas avoir d’homme dans sa vie.
Mais quand une femme n’est pas autonome, elle est en danger de demeurer et demeurer servile. Et quand une femme commence à être servile, c’est fini l’équilibre entre elle et l’homme. Et petit à petit la domination masculine prend place et la femme en devient victime, et un jour le couple fracture. Les gens voient trop de cinéma. Un homme qui veut, qui va avoir une relation à développer une relation avec une femme, s’il est sérieux, intelligent et qu’il veut garder et maintenir cette relation aujourd’hui dans une culture psychologique a fortement besoin de regarder s’il est niaiseux, s’il est con. Et si l’homme ne voit pas qu’il est con, il a un gros, gros, gros, gros problème.
Il a simplement à demander à sa blonde, à sa femme, est ce que je suis con ?
Elle va dire, elle le connaît tout. Elle connait tous les points, tu es con là, tu es con là, tu es con là, tu es con là, tu es con là tu es con là. (Rires du public) Et si la femme faisait la liste des conneries du mâle, il serait découragé. Un homme c’est con. J’aime l’homme pour ce qu’il a fait au niveau de la construction de la civilisation, mais je déteste ce que l’homme a fait à la femme, et on est en Amérique, imaginez-vous ce qui se passe dans les autres pays, les Indes, les pays Islamiques.
Donc cette culture psychologique à l’intérieur de laquelle nous nous déplaçons aujourd’hui qui fait partie de nos atmosphères conversationnistes, cette culture bien qu’elle soit bonne dans le sens que l’homme et la femme peuvent discuter leur situation, cette culture n’est pas suffisante pour donner à l’individu, le mâle et la femelle, la fondation nécessaire pour corriger leur tir, parce que dans la culture psychologique il y a toujours l’ego mâle, l’ego femelle, qui se confrontent, et comme c’est devenu très, très sophistiqué maintenant la conversation, vous entendez ça dans les bars quand vous rencontrez, dans les restaurants, c’est rendu très sophistiqué, il y a beaucoup de choses écrites sur ça.
Et pourtant le problème demeure toujours le même, l’homme est seul, et la femme est seule, et la raison fondamentale c’est le manque de respect, le manque de respect d’un homme par rapport à une femme par exemple vu du point de vue de la psychologie évolutionnaire, ce n’est pas ce que vous pensez, ça va très loin. À partir du moment où un homme fait souffrir une femme c’est un manque de respect, et quand vous avez des individus très évolués, des femmes très évoluées, des hommes très évolués qui ont une conscience vibratoire, ça n’en prend pas beaucoup pour sentir la vibration du manque de respect, ça n’en prend pas beaucoup, le radar est toujours allumé.
Mais même dans une culture psychologique, même si les gens n’ont pas la sensibilité ainsi de suite et ne vibrent pas autant à son manque de respect il s’enregistre, l’homme qui manque de respect à sa femme, ça s’enregistre. La seule différence entre une femme inconsciente à l’intérieur d’une culture psychologique et d’une femme consciente dans une psychologie évolutionnaire, si elle entre dans la psychologie évolutionnaire elle va rentrer dans le mur. Elle va le crisser à la porte. Elle va lui mettre le pied au cul.
Tandis que dans le monde normal de la psychologie culturelle, la femme ne fait pas ça, elle encaisse, elle encaisse, elle encaisse, elle encaisse et à 50 ans elle a les yeux tristes, elle a une âme qui pleure, elle a une vie qui n’est pas débloquée, elle se ressource sur ses enfants, mais ce n’est pas suffisant de se ressourcer sur ses enfants, il faut se ressourcer sur soi-même. Faire exploser à l’intérieur de soi ce monde imaginaire créatif qui fait partie des forces de l’âme et de l’esprit, pour reconnaitre en soi-même notre propre identité, vivre notre identité, et j’insiste quand je dis, quand je dis, que l’homme dans sa relation avec la femme il est con. Et si vous n’êtes pas capable de voir ceci, cette mesure, et regarder où vous avez failli, où vous faillissez chaque jour, à ce moment-là vous êtes loin, loin, loin de pouvoir vous assurer que votre femme est heureuse et que vous en retour vous êtes bien. Alors prenez cette situation, projetez la dans une société aussi psychologique, aussi critique que la France, mais vous avez dix millions de célibataires et ça ne va pas s’améliorer cette situation.
J’ai plein de gens qui viennent me voir et qui disent : Bon ben je ne peux pas former de couple, je ne peux pas rencontrer d’homme, je ne peux pas rencontrer de femme, papapa, papapa, et quand je les regarde parce que j’ai accès à l’être je vois pourquoi, parce qu’ils sont cons. C’est toujours de la connerie qui sépare l’homme et la femme, et la connerie de l’homme est très différente de la connerie de la femme. La connerie de l’homme est fondée sur sa domination, il la domine. Je connais des gens très, très intelligents et je dis: Tu domines cette femme par intelligence, et tu ne le vois pas. Simplement parce que tu es intelligent, simplement parce que tu as un doctorat, elle n’a pas de doctorat, tu la domines. Tu veux toujours composer rationnellement, tu veux toujours faire voir que tu as raison, c’est de la domination. Ah ? Je n’avais pas vu ça. Ensuite il se demande pourquoi elle le laisse pour aller vers quelqu’un de plus simple, un garçon de table, qui la domine moins. La femme en a ras le bol de se faire dominer. Et plus elle va être consciente et pire ça va être. Je connais des femmes très, très avancées en conscience évolutionnaire, et il n’y aucun homme qui va les dominer, aucun homme. Elles ne sont pas dominables. Elles sont dans leur identité, maintenant elles ont le problème de rencontrer un homme.
Pourquoi ?
Parce qu’ils sont cons. Des belles femmes, intelligentes, les hommes sont cons. Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’hommes qui ne sont pas cons. Mais je dis simplement que les hommes sont cons.
Ils disent que quand l’homme sera suffisamment rejeté par la femme, il commencera à regarder ses conneries, où il faille, où il faille, où il faille. Et c’est là que se rapprocheront l’homme et la femme et que l’homme pourra finalement commencer à mettre un terme à ces dislocations du couple pour la reformation. Il n’y a pas de raison que l’homme ou que la femme soit seule, effectivement il y a des aspects de programmation ça je comprends, une femme peut rencontrer son homme dans dix ans ça je comprends, pas de problème, mais il n’y a pas de raison qu’une femme ne rencontrer pas son homme. Que l’homme ne rencontre pas sa femme. Il n’y a pas de raison. C’est tout le monde qui veut se rencontrer, tous les âges.
Mais dans une société, dans une culture psychologique à l’intérieur de laquelle nous vivons aujourd’hui il faut faire très, très attention, parce que si vous développez, si vous vous entrainez à penser en fonction d’une culture psychologique et que vous ne développez pas de psychologie individualisée, fondée sur de la conscience, la culture psychologique va vous rendre la vie plus difficile parce qu’elle va exercer votre sens critique, au lieu de votre sens synthétique. C’est facile de critiquer, critiquer, critiquer, critiquer, on est différent, la femme, elle est différente de l’homme, vise versa, mais toujours être dans un mode de critique et de critique et de critique c’est maladif. Les Français en ont fait un art.
Donc la culture psychologique à l’intérieur de laquelle nous évoluons présentement elle doit être considérée comme étant un tableau contre lequel nous pouvons mesurer des choses, bon vous pouvez mesurer des défauts, des qualités de la femme, nous pouvons mesurer les qualités et les défauts de l’homme, pas de problème. Il est ci, il est ça, elle est si elle est ça, pas de problème. Mais, si nous n’allons pas au-delà de la culture psychologique, nous allons finir seul, parce qu’il n’y a pas dans la culture psychologique d’éléments de consciente intelligente pouvant neutraliser la polarité que nous retrouvons chez l’ego. Donc nous vivons toujours en relation avec les forces de l’âme, nous vivons toujours en relation avec la personnalité, alors que chez l’homme et la femme il y a beaucoup plus que l’âme et la personnalité, il y a l’identité, il y a l’esprit qu’il faut reconnaitre, il faut lui donner une chance, à cet esprit de se manifester, d’être entendu, d’être écouté. Mais si nous développons toujours cet esprit et que nous restons au niveau de la personnalité de l’homme et de la personnalité de la femme, dans nos relations, nous allons activer cette culture psychologique qui fait partie de la modernité, et nous allons devenir victimes d’un célibat à long terme, c’est ce qui se passe dans le monde maintenant.
L’histoire de vivre avec une femme ce n’est pas facile, c’est difficile. C’est une histoire, c’est très, très facile de vivre avec une femme. Il faut la laisser vivre, il faut la laisser se découvrir, se manifester, lui donner la chance, l’occasion d’être, vous l’avez aimée à tel âge pourquoi vous ne l’aimerez pas demain ? Et si vous tombez dans la culture psychologique, que vous analysez, papapa papapa, papapa papapa, comparez, papapa, papapa, c’est foutu votre affaire, parce que vous ne prendrez pas en considération son esprit, vous ne prendrez en considération que sa personnalité, alors qu’elle est aussi une personne et une identité. Mais une identité d’une femme, de l’homme, ça ne se manifeste pas tout de suite, ça prend du temps, ça demande à l’ego de réellement pénétrer les couches profondes de l’être, pour toucher à sa lumière et faire venir sa lumière en surface. Donc il faut lui donner la chance et c’est le respect qui permet ça, c’est le respect et on n’en parle pas suffisamment du respect, on connait la notion de respect.
La femme doit respecter que l’homme doit travailler dans la vie, une femme qui ne respecte pas ça elle fait une erreur, l’homme est programmé pour travailler, il est programmé pour se lever le matin. Il est programmé pour aller à l’œuvre, il est programmé pour voir les machines, il n’est pas programmé pour faire de la dentelle à la maison, en général. Donc la femme doit respecter ça, dans la mesure où l’homme aussi respecte la femme. Quand le travail est fini on revient à la maison. On ne s’en va pas avec les boys. On ne passe pas notre temps à arriver deux heures en retard quand la femme a mis des heures à préparer un repas. C’est comme ça que l’homme respecte la femme.
La culture psychologique dans laquelle nous vivons c’est une culture qui constamment froisse l’esprit. Et qui donne à l’ego l’impression que : Ah. Il la connait, ou je le connais lui. Il est bon, il n’est pas bon, elle est bonne, elle n’est pas bonne. Vous ne pouvez pas mesurer les relations entre un homme et une femme à partir de paramètres psychologiques, offert par une culture psychologique qui vous convient. Vous mesurez la relation entre un homme et une femme par la vibration. Ce qui se passe la paix, le calme, le vouloir être avec ou pas, le plus possible. Et lorsque ces éléments sont manquants dans une société psychologique, qui n’est plus maintenue, qui n’a plus les gardes fous de la religion, ou les gardes fous d’une philosophie ancienne, c’est le célibat, c’est la rupture des couples ça, c’est la conflagration, c’est la solitude des masses, et c’est l’épanouissement d’ego, gogo bars, des topless bars, de toute cette confiserie de monde astral où les âmes perdues, seules, ennuyeuses, plongées dans l’ennui perpétuel, sont incapables de se reconstituer un patrimoine.
Un patrimoine qui appartient à tout le monde, qui appartient à tous les hommes, à toutes les femmes, le patrimoine de la relation du couple, de l’amitié, des amours, whatever (Peu importe). Et le problème au niveau du célibat qui existe pour les masses entières dans le monde Occidental aujourd‘hui, il n’existe pas simplement que pour ces masses-là, il existe aussi pour des individus, techniquement évolués, qui savent un peu comment fonctionne la vie sur le plan mental.
Pourquoi ?
Parce que, parce que, encore une fois, même pour ces gens-là ils ne savent pas aimer, donc si je fais une étude à partir du plan mental, de l’amour, non pas à partir de Hollywood, mais à partir du plan mental, regardez ce qui ressort, aimer.
Qu’est-ce que ça veut dire, aimer ? Oublions la notion d’aimer que nous avons développée à partir de l’âge de la chevalerie. Les chevaux. (Rires) Aimer veut dire quoi ?
Aimer veut dire faire tout pour bien s’entendre.
Vous croyez que c’est facile ?
Essayez-le. Essayez-le, de faire tout avec votre femme, pour bien s’entendre. Et vous allez voir qu’il y aura des parties de votre corps qui vont craquer, les os vont craquer. Vous allez trouver ça ardu, difficile. Aimer veut dire faire tout pour ne pas faire souffrir l’autre. Là aussi les os vont vous craquer. Surtout quand elle va bruler la soupe et que vous arrivez du chantier et que vous avez faim.
Aimer veut dire quoi ?
Cherchez toujours à vivre dans la paix. La paix c’est quelque chose qu’on crée, ce n’est pas quelque chose qu’on achète chez Eaton. La paix c’est le produit mutuel de deux consciences en évolution, c’est ça la paix. C’est un état mental.
Qu’est-ce que c’est aimer ?
C’est, ne jamais vouloir troubler la paix de l’autre. Là les os vont vous casser.
Toutes les autres options d’amour que vous avez lues dans les romans, que vous avez vues dans les films, que vous allez chercher à Hollywood ainsi de suite, qui vous ont été transmises de père en fils, qui vous ont été transmises par les religieux, les philosophes, c’était tellement inutile, ça ne sert pas dans la vie, parce que ça ne fait pas partie de la conscience de l’homme. Ça fait partie du miroitement de l’ego. Ça ne fait pas partie de la conscience, ça ne fait pas partie de la conscience créatrice de l’humain, ça fait partie des miroitements de l’ego. C’est pour ça que depuis des siècles on cherche à être heureux et puis je vous l’ai toujours dit, ça n’existe pas le bonheur. La paix oui, le bonheur non, les gens qui prêchent le bonheur et qui veulent vous vendre du bonheur que ce soit des clercs ou des philosophes, ce sont des gens qui n’ont aucune notion des aspects occultes de la vie, le bonheur n’existe pas. C’est un mouvement d’énergie astrale qui demain deviendra plus bas, qui demain et après-demain deviendra plus haut heureux malheureux, heureux malheureux.
Il y a des gens qui ne pourraient pas vivre dans la paix, ils sont tellement habitués aux hauts et aux bas de la vie, ils ont l’impression de vivre. Ça c’est comme le type qui se jette en bas d’un building avec des ailes en papier, ils veulent avoir l’impression de vivre, ils veulent toucher un peu à la mort pour avoir l’impression de vivre tant ils sont morts. La vie ça se conserve, ça se protège, on ne prend pas de chance avec la vie, elle est trop précieuse, elle est trop courte, on ne l’assit pas dans une auto à 250 miles à l’heure. Et aujourd’hui tout le monde se jette en bas de quelque chose, donc si on ne se jette pas on a l’impression de manquer de quelque chose.
Pourquoi ?
Parce qu’on n’a pas d’identité, c’est abominable.
Ça fait trente ans que je suis en communication télépathique avec le plan mental, que j’étudie le problème de l’identité, et je n’ai même pas encore parfaitement compris son mystère. C’est extraordinaire l’identité, ça traverse tous les plans de l’humain, jusqu’au plan matériel, et lorsqu’il se trouve dans l’amour, le lien avec l’homme et la femme, c’est une affaire de rien de vivre avec une femme ou de vivre avec un homme, c’est un plaisir perpétuel. On croit que souvent que nos femmes s’accommodent très bien de nous, parce qu’elle ne pleure pas, elles ne disent rien, tout va bien, elle sort l’après-midi pour s’acheter des bijoux au magasin, elle prend un petit rhum, un petit voyage de temps à autre, mais elles ne sont pas nécessairement heureuses, c’est de la compensation. Il n’y a personne sur la Terre qui compense autant que la femme. On l’a inventé qu’elle n’a pas de problèmes. Une semaine elle a les cheveux rouges. L’autre semaine ils sont blonds. L’autre semaine ils sont gris. Elle a 75 paires de bottines, de chaussettes, de souliers, pour plaire à son homme.
Que la femme veut plaire à son homme, je n’ai pas de problème, mais qu’elle compense toute sa vie pour le faire, ça c’est un problème, ça c’est son problème, parce qu’il est con. S’il n’était pas con elle n’aurait pas besoin de changer de souliers et de chevelure à tous les, il n’y a pas de problème. Elle a peur de le laisser, elle veut garder son homme, elle veut garder son con parce qu’elle n’est pas autonome (Rires du public). Si jamais vous avez des enfants, surtout des filles, surtout aujourd’hui qui sont jeunes, la première chose à leur enseigner, la première quand elles ont 7 ans, 8 ans, les secrets de la finance pour qu’un jour elles puissent dire à son con : Ok bye. Bou. (Rires) la finance. Bon job, bonne éducation, parce que la femme est intelligente, ça ne veut pas dire qu’elle ne préfèrerait pas avoir un homme qui prendrait soin d’elle, non, c’est merveilleux ceux qui ont ça, In chalà.
Mais il y en a combien qui ne l’on ?
C’est pour cela que je déteste les religions, je haïs les religions, mais je comprends leurs fonctions, parce que les religions n’ont pas enseigné à l’homme de respecter la femme, je déteste les religions, jusqu’à ma mort, je n’irai les religions, j’écrirais contre les religions cet aspect des religions, qui a été manipulée par les hommes, pas par les prophètes, par les hommes. Ce ne sont pas les prophètes que je blâme ce sont ceux qui viennent après. Les autres les cons. Et les philosophes n’ont pas fait mieux mais ils ont aidé à la libération de la femme. L’âge primaire.
Donc s’il y a encore beaucoup de célibats aujourd’hui c’est à cause justement de la culture psychologique, qui n’est pas capable de se réinventer. Une psychologie, ce que nous appelons une psychologie. Ce que j’appelle une psychologie, c’est un mouvement de l’esprit qui passe à travers la forme existentielle de la conscience sur une planète en évolution et qui permet à l’individu, en tant qu’individu, en tant qu’unité essentielle, de pouvoir corriger les erreurs de la culture, les erreurs du milieu, les erreurs de la race, de la mémoire de la race, et de ce processus naît un Homme nouveau, un homme libre, un homme qui connait la femme qui comprend la femme. Une femme qui connait l’homme, qui comprend l’homme. Un homme qui ne domine plus la femme, une femme qui n’est plus dominable par l’homme, c’est merveilleux. Mais, la psychologie culturelle ne permet pas ça.
Pourquoi ?
Parce qu’il y a trop d’ego, il y a trop d’ego. Ce n’est plus de l’esprit qui éclaire, c’est l’ego qui cherche à tirer de son côté la couverture pour se donner raison, c’est pour ça que je vous mets en garde, et que je vous apostrophe, et que je dis : Si vous n’êtes pas capable en tant qu’homme de savoir que vous êtes con, dans votre relation avec la femme, vous ne pourrez jamais éliminer totalement votre connerie. Et vous êtes capable de le faire, de l’admettre et surtout de le corriger, de le neutraliser, de l’arrêter, de l’extirper de votre conscience involutive, votre femme sera heureuse, elle vous verra grandir en sensibilité et elle grandira elle en joie. Si non ce sera le statu quo, vous vieillirez ensemble, elle ne vous laissera pas parce qu’elle est vieille, elle n’est pas autonome, elle perd sa beauté, et vous vous restez avec elle, parce que vous ne voulez pas lui faire de peine, et vous finirez tous les deux dans le cercueil, des couples mal emmanchés.
L’homme a un intellect facile en général, et en général parce qu’il est plus éduqué, ainsi de suite. Ça c’est intéressant. Mais je vois souvent à travers cet intellect facile je vois l’orgueil, je vois l’orgueil du mâle, je vois l’orgueil de l’intellectuel, je vois l’orgueil de l’intellect, et c’est ça qui mine la relation, et c’est ça qui fait que cette culture psychologique au lieu d’être une plateforme pour la libération du couple devient de plus en plus une plateforme pour l’enterrement. Donc l’homme a le devoir de regarder dans la glace de sa conscience expérimentale et d’être dit, par moi ou par d’autres qu’il est con.
Comme je suis objectif, comme ça fait partie d’une lecture, on ne peut pas m’accuser d’être anti-homme, contre l’homme, je ne suis pas contre rien, mais il va le savoir. Et ce ne sont pas les religions, ce n’est pas la culture religieuse qui va lui dire, ce n’est pas la culture philosophie qui va lui dire. La culture philosophique va lui dire qu’il est grand, qu’il est grand penseur, c’est lui qui a créé les grandes architectures de la pensée du 18, 19ième siècle. C’est lui qui a ébauché la science, et ne sont pas les religions non plus parce que les religions sont toutes patriarcales. La femme est un être secondaire dans la religion, je déteste les religions, mais je connais leurs fonctions, et un jour l’homme conscient qui aura une psychologie évolutionnaire ne pourra plus appartenir à aucune religion, à aucune. Les plus grandes, les plus enveloppantes, les plus charmantes, les plus envoutantes, seront démasquées par l’individu.
Bien, donc si les philosophies, les religions, sont des cultures ne sont pas suffisamment puissantes ou ne l’ont pas été pour donner à l’homme l’heure juste concernant sa nature et sa relation avec la femme, moi je le fais, je ne fais pas partie d’une culture religieuse, je ne fais pas partie d’une culture philosophique, je ne fais pas partie d’une culture psychologique moderne. J’ai une conscience totalement occulte, mentale, défraichie, ou déliée, n’appartenant pas aux racines du mal de l’involution. Les racines du mal sont toutes ces choses, toutes ces forces astrales, lunaires qui font partie de la conscience de l’être humain et qui empêchent l’homme et la femme d’être libres. Être bien en eux, être en paix en eux, on n’offre pas à la femme et à l’homme le bonheur, on offre à l’homme et à la femme la paix. Nous ne trafiquons pas avec le monde des âmes, pour offrir à l’humanité le bonheur, ce qui fut l’enjoue de toute l’involution.
Ils disent qu’il est évident dans les conditions actuelles, que l’homme et la femme vont devoir, surtout l’homme et la femme, avancer, sensible ainsi de suite, vont devoir attendre plus qu’auparavant avant de se découvrir un partenaire. Parce que la culture psychologique a rendu l’homme et la femme méfiants, l’une de l’autre. Alors que dans la psychologie évolutionnaire, ce n’est pas que l’homme et la femme sont méfiants l’un de l’autre, mais c’est que la femme sait où elle s’en va et l’homme aussi. Donc les rares probabilités, les programmations sont très différentes dans le temps, parce qu’auparavant c’était très facile pour les forces de la vie de piéger l’homme et la femme dans une relation karmique, alors que dans l’évolution ce sera beaucoup plus difficile.
L’histoire d’une fille qui se marie à 15 ans c’est impossible s’il elle a une conscience évolutionnaire. Ça s’est passé pendant l’involution parce que tous les liens étaient karmiques, tout était karmique, tout faisait partie de l’expérience de la race. Donc si la femme peut une fois pour toutes se débarrasser de cette vieille impression qu’elle doit avoir absolument un homme dans sa vie, qu’elle commence à relaxer, prendre de l’énergie dédiée à la recherche de l’homme dans sa vie, pour se donner une éducation, pour se former un portefeuille, pour se rendre autonome, et un jour l’homme viendra, il sera là, il y aura là, mais ce sera un choix. Ce ne sera plus une programmation karmique.
La femme a été tellement bombardée, il y a le côté hormonal là-dedans, il y a toute le côté de la procréation. Une fille de 20 ans sa veut un enfant, ainsi de suite, ça c’est normal, mais avec un peu d’intelligence ça peut être retardé ce processus-là, même les unités qui en ressortent, il peut en être diminués au lieu d’en avoir 10, 9,8,7, n’avoir deux max. Un max. Pantoute (Aucun) correct. (Rires) Et c’est cette mémoire que nous avons, nous sommes esclaves de la mémoire de la race, et si nous appartenons à une certaine race nous savons très bien combien ces mémoires nous plafonnent, combien ces mémoires nous entourent, nous enveloppent, à un point où nous n’avons plus de capacité de voir clair par soi.
Il y a quelqu’un qui me demandait quand j’étais en France : Quel est le plus grand problème de l’humanité ?
Je disais: Le plus grand problème de l’homme sur la Terre c’est l’identité, l’homme n’a aucune identité, aucune.
Et il est revenu, et me dit : Mais oui il y a des hommes qui ont de l’identité.
J’ai dit : non, l’homme n’a aucune identité.
Et alors il me dit : Comment êtes-vous sûr que l’homme n’a aucune identité ?
J’ai dit : Vous par exemple, vous croyez que vous avez de l’identité ?
Il dit : Ah mais j’ai quand même une certaine identité.
Ah, j’ai dit : Vous avez une certaine identité. Ce n’est pas de l’identité ça une certaine identité. Là si vous demandez si j’ai de l’identité ou une certaine identité, je vais vous dire que j’ai une identité.
Il dit : Mais comment voir ? Comment on mesure la différence entre une certaine identité et une identité ?
J’ai dit : Une certaine identité ça peut vous être enlevé. Vous travaillez pour une grosse boite, vous êtes (Nom de compagnie) La journée que la boîte marche plus, parce que les finances ne fonctionnent plus parce qu’il y a un scandale et que vous êtes dans la rue.
Qu’est-ce qui se produit à votre identité ?
Vous devenez instantanément le lendemain un street people. (Gens de la rue) C’est plein de street people (Gens dans la rue) qui pensaient avoir de l’identité, mais qui n’en avait pas. Un c’est une personne qui n’a plus d’identité réellement mais qui l’avoue, il y a des juges qui sont rendus dans la rue. De grands avocats qui sont dans la rue.
Ils avaient de l’identité ?
Ce n’était pas une identité, c’est une certaine identité, parce qu’ils avaient le manteau de l’avocat, le manteau du juge, le post extérieur. Mais quand on a de l’identité et que le monde autour de soi tombe. Que le monde bascule, que la vie nous chambranle. Vous croyez qu’on change ? Non, on devient plus cons. Ça c’est évident. Alors si vous avez de l’identité basée sur des structures culturelles, qui sont valables, vous êtes médecin, vous êtes architecte, plombier ainsi de suite, pas de problème. Mais ne venez pas me dire que vous avez de l’identité.
Fin enregistrement.