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PE 116 DÉPOLARISER SON MENTAL

BdeM : Avez-vous des questions ? Madame, parlez fort, fort.

 

Question : Quand on ne regarde plus la polarité, est-ce qu’on peut la déprogrammer par l’écriture 

 

BdeM : Ça, c’est intéressant, c’est intéressant. Ils disent que la déprogrammation, elle se fait par dissociation émotionnelle. Je vous donne un exemple : Supposons que vous avez un enfant, disons un mari, puis il meurt. Puis vous avez la culpabilité de ne pas vous être occupé de lui suffisamment dans votre vie, bon, je vous donne un exemple.

 

Ce qui fait que vous êtes polarisé, puis ça vous fait de la peine, puis vous pensez à ça, etc. Vous pouvez faire de l’écriture puis dépendant du niveau de télépathie que vous avez, puis avec quel plan, parce que vous pouvez avoir contact avec un plan astral, donc avec une entité astrale, comme vous pouvez avoir contact avec le plan mental qui est votre source, à ce moment-là, vous allez avoir des réponses différentes. 

 

Mais en faisant de l’écriture automatique ou de l’écriture, vous pouvez avoir des bons renseignements dans le sens que vous pouvez avoir, dépendant de votre vibration là, votre réceptivité, vous pouvez avoir des réponses intelligentes concernant ça. Mais ça, ça va vous soulager, mais au niveau d’éliminer la programmation, autrement dit de ne plus souffrir de tout ça, il va falloir, un jour éventuellement que vous démotiviez le phénomène. En démotivant le phénomène, autrement dit en éliminant l’émotion dans le mental, à ce moment-là vous allez éliminer cette programmation-là, puis vous allez dépolariser votre mental, puis éventuellement vous allez être libre de cette culpabilité-là.

 

Question : C’est ce que ça me fait présentement, ça me libère. Au lieu de l’avoir là, je l’écris puis je n’y pense plus, je peux le déchirer puis ça règle mon problème émotivement, automatique. Ça, je le fais depuis 4 ans, ça marche. C’est une étape.

 

BdeM : C’est une bonne technique, seulement ce n’est pas une étape absolue parce que ça revient à la conversation que j’avais avec une de vous autres tout à l’heure-là, quand vous parlez de votre problème, quand vous parlez de votre problème avec quelqu’un, ou quand vous, vous parlez de votre problème avec l’écriture, vous ne transmutez pas le problème, vous ne faites que simplement le voir d’un autre point de vue. Mais pour que le problème soit transmuté, éliminé, autrement dit qu’il ne revienne plus, quand vous allez avoir un autre mari. 

 

Supposons qu’un jour vous avez un autre mari, que la même situation se reproduise, pour que le problème ne revienne plus il faut qu’il y ait transmutation du corps émotionnel. Ça fait que l’écriture, parler avec quelqu’un, ça, ça soulage l’âme, c’est un soulagement, mais ce n’est pas une transmutation du corps émotionnel. Je vais vous donner la différence entre les deux. Mais c’est bon ce que vous faites, c’est bon de faire ça.

 

Question : Ça me libère.

 

BdeM : C’est ça. Qu’est-ce que c’est de la transmutation ? La transmutation du corps émotionnel, qu’est-ce que c’est la transmutation ? Qu’est-ce qu’ils disent sur ça ? 

 

Ils disent : La transmutation du corps émotionnel, c’est la capacité de l’ego d’accepter la polarité de ne pas s’y attacher. Bon je donne par exemple : Si moi j’ai un enfant qui meurt dans un accident, puis j’aime bien mon enfant, ben je suis capable, en tout cas dans ma situation actuelle, je suis capable d’accepter la polarité. Autrement dit il peut se passer des pensées qui vont me prendre, mais quand ça va venir ça, je ne m’y attacherai pas émotionnellement. À ce moment-là, ça c’est un processus de transmutation qui permet ça. Parce que ce n’est pas parce que tu es conscient qu’il n’y a pas des choses qui vont se passer dans ta tête, mais c’est parce que tu es conscient que les choses qui se passent seront dans ta tête, n’affecteront plus ton corps émotionnel parce qu’il y a eu transmutation. C’est ça la différence. Puis éventuellement l’homme va en arriver à pouvoir transmuter n’importe quoi, n’importe quel aspect, n’importe quelle forme de polarité dans sa conscience, parce qu’il va trop connaître la game (Jeu). Quand tu es bien conscient de la game, quand tu es bien conscient que les pensées. Comme tout à l’heure, j’étais à table dans un restaurant là, ferme le magnéto une minute, je ne veux pas que ce soit enregistré. 

 

Question : Bernard, ça sert à quoi cette game-là, la game ?

 

BdeM : La game, ça fait partie de l’évolution, ça fait partie de la conscience humaine, ça fait partie de la conscience de l’ego, l’évolution de l’ego, on est en évolution de conscience. Sur la Terre on n’a pas de conscience créative, on a une conscience expérimentale, on est des êtres, on est des âmes en incarnation nous autres, on est des âmes qui s’incarnent dans un corps physique puis on prend de l’expérience, puis on meurt puis on revient et ainsi de suite.

 

Mais dans tout ce processus-là, du corps matériel puis de l’âme ici, il y a l’esprit. L’esprit c’est eux autres sur le plan mental. Puis ça, cet esprit-là, cette lumière-là veut éventuellement connecter avec l’âme, puis connecter avec le mental de l’ego pour créer une unité de conscience humaine très évoluée. C’est-à-dire, où la conscience cosmique universelle, appelez ça comme vous voulez, est active sur le plan matériel. Ça, ça fait partie de ce que j’appelle l’évolution. Tout le reste c’est de l’involution. Dans ce processus-là, pour passer de l’involution à l’évolution, pour passer de l’inconscience à la conscience, pour passer du rêve à la réalité, à ce moment-là il faut qu’eux autres sur le plan mental, dans leur travail en relation avec l’ego, testent puis testent l’ego. 

 

Maintenant qu’on a accès à une conscience, une psychologie évolutionnaire, on peut comprendre comment ça marche parce qu’ils nous l’expliquent. Avant on ne pouvait pas, parce qu’on était dans l’involution, donc à ce moment-là on était obligé de subir notre conscience égoïque, on la subissait. Si tu étais un curé, tu subissais ta conscience égoïque de curé, si tu étais un artiste, tu subissais ta conscience égoïque d’artiste, si tu étais un génie, tu subissais encore ta conscience égoïque de génie. Puis tu te pensais bien, bien intelligent puis bien orgueilleux, parce qu’un génie automatiquement va se penser bien intelligent, donc il va se penser orgueilleux. Alors que dans l’évolution, ce même être-là ne vivra pas son expérience mentale de la même façon parce qu’il saura que l’intelligence vient d’ailleurs. 

 

Probablement que le plus grand fardeau de l’initiation solaire de l’homme dans l’évolution de l’humanité, au cours des siècles à venir, ça va être la réalisation que la pensée vient d’ailleurs. Mais dans le fond, si on regarde le phénomène de la communication purement électronique sur le plan matériel, c’est la même chose. Votre radio il parle, mais dans le fond les émissions, tout ça, ça vient de CKVL de Montréal. Vous n’avez pas de difficulté avec ça, vous n’avez pas de difficulté de réaliser que l’antenne est ici puis par radiation, ben ça s’en va puis c’est capté par un cristal ici, au-delà.

 

Mais au niveau du cerveau humain, on a de la difficulté avec ça. 

Pourquoi ?

Parce qu’on est égocentrique. 

Pourquoi ? 

Parce qu’on est ignorant. 

Pourquoi ? 

Parce qu’on n’a jamais parlé avec les autres plans. 

Pourquoi ? 

Parce que ce n’était pas le temps. 

Pourquoi ? 

Parce que ce n’était pas le temps. Là, ça commence à être le temps.

 

Mais pour ça, il faut qu’on ait une science qui nous met au parfum, parce que si on n’a pas une science qui nous mettrais au parfum, puis qu’on commence à avoir de la télépathie avec eux autres, on deviendrait fou, c’est sûr. Alors il y a un temps. Puis ce n’est pas tellement le contact télépathique avec le plan mental qui m’importe en ce qui concerne l’évolution de l’homme, c’est la réalisation que nos pensées polarisées ne sont pas les nôtres. Une fois que tu comprends ça, tu viens de régler une grosse partie de tes problèmes. Tu viens de régler une grosse, grosse partie de tes problèmes. Comme elle, cette petite femme-là, il faut qu’elle réalise qu’elle a tendance à être énervée. Elle a tendance être énervée parce qu’elle est bien, bien intense, elle a un haut niveau de conviction.

 

Ça fait quoi ça ? Où ça vient de quoi ça ? Où ça va créer quoi chez elle ? 

Ça peut créer chez elle une forme de conscience qui va avoir tendance à enseigner aux autres. Mais pour enseigner à l’homme, il faut que tu en arrives éventuellement à comprendre les mécaniques de la pensée, pour ne pas introduire l’homme dans un état de conscience qui est dominé par la tienne. Parce qu’elle a une forte vibration elle, là. Si elle parle à une de ses chums (Copines), elle peut facilement la convaincre de sa façon de voir. Si l’autre n’est pas suffisamment dans son identité, à ce moment-là elle va être dominée sans s’en rendre compte, par elle. À ce moment-là, c’est ça que j’ai contre, le phénomène d’enseigner à l’homme. Enseigner à l’homme c’est une chose, mais un jour il faut qu’on en arrive à libérer l’homme. Mais comment voulez-vous qu’on libère l’homme si on n’est pas libérés nous- mêmes, comprends-tu ? C’est un autre processus. Mais en attendant elle peut faire du grand bien à du monde dans le coin parce que c’est une petite femme intelligente, elle est vive. Ça fait que c’est comme ça que ça marche.

 

Question : Ça fait partie de la domination ça ?

 

BdeM : Ça fait partie de la domination, c’est sûr. Regardez ce qu’ils disent ici, là. Ils disent que c’est bien, bien important pour l’homme de pouvoir concevoir qu’il n’est pas seul dans sa tête. Parce que quand tu es capable de concevoir ça, ou même de concevoir, même si tu n’es pas sûr, mais de le concevoir, qu’est-ce que c’est qui se passe ? 

 

Qu’est-ce que c’est qui se passe ? 

Il dit : Premièrement, vous commencez à prendre mesure de votre profondeur.

 

C’est quoi de la profondeur humaine ? 

Il dit : C’est de l’infinité de conscience. 

Moi quand je m’en vais au tableau là, je pars de zéro, je m’en vais dans un grand vide plein, puis je sais que de l’autre bord il y a quelqu’un pour me répondre tout de suite. C’est comme le gars-là, il est toujours prêt. Mets ta plume au tableau puis on va te parler, ça c’est la règle du jeu. Ça fait que quand je m’en vais au tableau moi, en tant qu’ego, en tant que personne, je ne suis plus là. Je disparais là, je canalise complètement, puis à ce moment-là l’information elle passe, puis elle sert à tout le monde parce que c’est tout ajusté à la vibration de la salle pour la journée, ça.

 

Mais si l’homme n’est pas capable au niveau de l’ego, au niveau de ses pensées, s’il n’est pas capable de concevoir que la pensée vient d’ailleurs, il ne pourra jamais en arriver à bénéficier ou à plonger dans ses grandes réserves, donc il n’aura jamais une mesure de sa profondeur. Moi je peux parler jusqu’à temps que je meurs, j’aurai toujours quelque chose à dire. Peut-être que je vais prendre le même sujet mais je vais l’approcher d’un autre point de vue pour que le monde le voit d’un autre point de vue. 

 

Pourquoi ? 

Parce que c’est sans fin, ça. Mais pour ça, il faut que l’ego soit capable de reconnaître qu’il y a une autre dimension à sa réalité, puis l’autre dimension à sa réalité, c’est où sa pensée n’est plus polarisée. Parce qu’avec une pensée polarisée, tu n’es pas capable, tu ne peux pas connecter là. Parce que la pensée polarisée, c’est le seuil de ta conscience égoïque. Pour aller au-delà de ta conscience égoïque, rentrer dans une conscience télépathique ou universelle, à ce moment-là il faut que tu sois capable de réellement dépolariser ta pensée, autrement dit ne pas t’y accrocher, quand tu vis tes souffrances, tes douleurs, puis tes expériences psychologiques humaines. Si tu n’es pas capable de faire ça, l’homme n’en arrivera jamais à avoir une mesure de sa profondeur, puis l’homme a une profondeur abominable, c’est très grand, ça plus de fin. Ça fait que la conscience, c’est de la conscience. Ce n’est pas sorcier la conscience, c’est bien simple. 

 

Regarde ce qu’ils disent : Pour que l’homme comprenne sa vie, il faut qu’il puisse se l’expliquer à partir de notre façon de la voir, pas de la sienne. Si vous vous expliquez votre vie à partir de votre façon de la voir, vous ne pourrez jamais la comprendre, vous allez la polariser automatiquement. La fille qui est en amour-là, puis son chum (Copain) la laisse, pour qu’elle comprenne ce qui se passe, pour qu’elle puisse faire l’étude de son expérience, il faut qu’elle ait un point de vue qui n’est pas le sien, elle est bien trop en souffrance, elle est bien trop démoralisée, elle vit bien de trop de rejet.

 

Mais si elle est capable de dépolariser son expérience, passer au niveau du mental et dire : Bon, qu’est-ce qui se passe, pourquoi est-ce qu’il m’a crissée là ? Ils vont dire : Parce que votre vie ensemble est finie. Puis là elle va s’inquiéter, comme toi, elle va dire : Va-t-il y en avoir un autre ? Ils vont dire : Oui tu vas en avoir un autre. Puis là, tu as encore l’ego qui dit : Ben quand ? Ils vont dire : Ce n’est pas de tes affaires. On est toujours pareil : Quand ? Quand est-ce qu’il va y en avoir un autre ? 

 

Regarde ce qu’ils disent : Vous avez de la difficulté à vivre le vide : Pas de chum. S’il fallait que l’on vous dise : Que tu n’auras pas de chum avant 45 ans ? Ils disent : Vous gèleriez net. Alors on ne vous le dit pas, on dit : un jour tu vas en avoir un. Mais dire à une femme qu’elle va avoir un chum dans 45 ans, dans 30 ans, un mari à 65 ans, elle rentre chez les sœurs tout de suite. (Rires du public). C’est pour ça qu’ils disent : On ne peut pas trop vous dire. Mais ça, ça dépend de l’expérience de l’âme ça. Parce qu’il n’y a pas de raison qu’une femme attende 45 ans, 60 ans pour avoir un chum, tu comprends ? Quand tu as un produit tu le mets en vitrine, tu vois ce que je veux dire. (Rires du public).

 

Pourquoi est-ce que je ne lui dis pas moi dans le fond ? Pourquoi est-ce que moi je ne travaille pas, pourquoi est-ce que je ne travaille pas, puis pourquoi est-ce que j’ai du fun (Plaisir), puis pourquoi j’aime ça, donner des conférences après des années puis des années puis des années puis des années 

 

Parce que je vais au tableau puis ça passe…brrrruuuut . Là, je ne sais pas ce que je vais dire là, mais aussitôt que je vais au tableau, ça passe. C’est merveilleux de travailler de même. Puis c’est toujours ajusté à la salle. Moi j’apprends des affaires, le monde apprend des affaires, mais si tu es dans l’ego puis que tu es polarisé, puis là tu commences à avoir une inquiétude : Est-ce que j’ai quelque chose à dire ? Puis là, qu’il ne passe rien dans le crayon, là t’es fait.

 

Il dit : Si l’homme est incapable de comprendre ça, l’homme n’aura jamais peur de manquer quoi que ce soit dans la vie, c’est pour ça qu’on a toujours peur de manquer, de ne pas avoir de chum, ne pas avoir de job, ne pas avoir assez d’argent, ne pas avoir assez de ça… parce qu’on ne la pas cette connexion-là avec eux autres. Ça fait qu’on n’a pas accès à notre profondeur. 

 

Pourquoi ?

Parce qu’on est toujours polarisé. On a peur de ne pas avoir de job, peur de ne pas avoir de femme, peur de ne pas avoir des enfants quand on se marie, peur de ne pas avoir des bons enfants. On vit toujours dans des craintes. Puis ça, ça nous polarise puis ça nous polarise puis ça nous polarise. Quand tu vis comme ça pendant 10, 15, 20, 30, 50 ans, 60 ans, éventuellement on meurt, puis on meurt inconscient, on meurt dans un état de rêve, on n’est pas éveillé. Là, tu arrives de l’autre bord, là c’est encore pire. Imagine-toi tu es ici, quand au moins tu es ici tu as des sens, tu sais ce qui se passe parce que tes parents t’ont appris comment vivre en société, et ainsi de suite. Mais quand tu meurs, puis que tu arrives de l’autre bord, tu ne sais pas comment ça marche de l’autre bord là. Tu peux vivre un maudit choc, ça peut te prendre un bon bout de temps avant de rencontrer quelqu’un qui va te dire : Bon ben tu es mort Jean-Paul là, tu sais. (Rires du public).

 

Toi tu es encore à côté de ton char sur le plan astral. Puis tu es à côté de ton char puis tu penses que tu es encore vivant. Pourtant, l’autre il dit : Tu es mort, tu es mort. Ça te prend quelque temps avant de réaliser que tu es mort. Puis ça, c’est rienque (Juste) sur le plan astral mais il n’y a pas rien que le plan astral. Quand tu meurs, tu t’en vas sur le plan astral mais tu peux aller ailleurs aussi, mais ça, ça dépend de ton niveau de conscience.

 

La mort ou l’astral, ce n’est pas la fin du monde, c’est le début de l’autre bord mais ce n’est pas la fin du monde. Ça fait qu’un jour l’homme va arriver de l’autre bord, il va être content d’arriver de l’autre bord, il n’aura pas de problème d’arriver de l’autre bord. La mort, derrière, ça n’existera plus dans sa conscience. Nous autres on a peur de la mort parce qu’on ne sait pas ce qui peut arriver de l’autre bord. On n’est même pas capable de parler avec eux autres ici, alors imagine-toi, quand tu n’es pas capable de parler avec eux autres ici, tu étais en conscience réflective toute ta vie, tu meurs, tu arrives de l’autre bord, tu es réellement, tu as un gros, gros problème d’identification.

 

Regardez ce qu’ils disent sur la mort. Il dit : La mort, c’est la façon d’être en conscience astrale qui vous permet de ne pas vouloir vous rattacher à la matière. Ça, c’est de la mort. Quand tu rêves, quand tu es couché le soir, tu es dans la mortalité, c’est de la mort, ça. Tu es découpé de tes sens. La seule raison que tu ne meurs pas quand tu te réveilles le matin, c’est parce que tu as encore un cordon qui te tient ton corps astral qui est connecté au plexus solaire, sans ça tu ne reviendrais pas le lendemain matin. La journée où tu vas mourir, c’est ce qui se passe, le cordon il est coupé puis tu ne reviens plus, bon il n’y a rien là. Il dit : La mort c’est l’équivalent d’un rêve qui est finalement réveillé, tu arrives finalement de l’autre bord, puis finalement, pas tout de suite là, mais éventuellement tu réalises que tu es mort. 

Mais les morts quand ils réalisent qu’ils meurent, qu’ils sont morts, qu’est-ce c’est qui se passe ? C’est quoi ?

Il dit : Quand un mort il réalise qu’il est mort, il est bien.

 

Pourquoi ? 

Parce que dans la mort il n’y a plus de corps physique. 

 

Pourquoi est-ce qu’il sera bien ? 

Supposons qu’il est dans des plans inférieurs. 

 

Pourquoi est-ce qu’il sera bien ? 

Il dit : Dans les plans inférieurs, il n’est pas bien mais dans les plans supérieurs il est bien, ça dépend de ce que tu es. Mais supposons qu’il est sur des plans avancés, si c’est un être avancé, évolué, spirituellement évolué, il dit : S’il est évolué, le gang qu’il rencontre a de l’allure. S’il n’est pas évolué, le gang qu’il rencontre n’a pas d’allure. Ça fait s’il n’a pas d’allure, si il s’en va sur des plans inférieurs, puis le gang qu’il rencontre n’a pas d’allure.

 

Qu’est-ce c’est qui se passe ? 

Il dit : Dans ce temps-là, tu vis des expériences dans ces plan-là qui te rappellent tes souffrances que tu avais sur la Terre. Ça fait que tu vis dans des rappels, des mémoires parce que l’âme c’est une mémoire, ça fait que tu vis dans des rappels de souffrances sur la Terre, puis tu soufres là, puis tu vas souffrir jusqu’à temps que tu te réincarnes, whatever is (Peu importe ce que c’est). 

 

Puis si tu vas sur les plans supérieurs, qu’est-ce que c’est qui se passe ? Ce que vous appelez le ciel vous autres. Oubliez ça le ciel. (Rires du public).

 

Il dit : Si vous arrivez sur les plans avancés, ben vous oubliez facilement la Terre. Autrement dit, c’est quoi pour définir ? Si on veut définir la mort d’une façon expéditive là, parce qu’on peut en parler pendant des siècles de la mort. Tu as des plans inférieurs, tu as des plans supérieurs, puis plus tu es évolué, plus tu t’en vas sur des plans supérieurs, plus tu perds la mémoire de la Terre.

 

Donc les gens qui sont dans des plans inférieurs, ils ont une grande, grande mémoire de la Terre. Ceux qui ne sont pas évolués puis qui ont vécu des chocs, des chocs au niveau de leur corps dans des accidents par exemple, si tu n’es pas évolué puis que tu vis un accident, tu peux traîner à côté de ton Chevrolet pendant bien, bien longtemps, comprends-tu ? (Rires du public). Ça fait qu’à ce moment-là, c’est avoir bien, bien de la mémoire de la Terre. Tandis que quand tu es évolué, tu es rendu ici, tu l’oublies la mémoire de la Terre. Les gens qui veulent communiquer là, qui veulent communiquer avec des êtres chers qui sont évolués, ils ne peuvent pas le faire parce qu’ils ont tout oublié. Mais si tu veux communiquer avec un esprit qui est inférieur là, qui peut se matérialiser là, tu peux le faire, les Poltergeist c’est un exemple, c’est tout du monde qui ne sont pas évolués ça.

Tandis que les gens qui sont moindrement évolués, il y a une barrière sur ce plan… puis rendus ici, ils n’ont plus la mémoire. Tu ne l’as pas toi la mémoire, vous ne l’avez pas vous autres la mémoire de quand vous étiez morts, ben eux autres ils n’ont pas la mémoire de quand ils étaient vivants. Ça fait que c’est simple.

 

Pourquoi est-ce que c’est de même ?

 

Il dit : C’est de même jusqu’à temps, ou tant que l’homme ne rentrera pas dans une conscience morontielle.

 

C’est quoi, une conscience morontielle ? 

Il dit : C’est une conscience qui est partout. 

 

Ça veut dire quoi ? 

Ça veut dire qu’il est dans tous les temps, présent, passé, futur. Ça fait que quand tu meurs, tu sors de ton corps physique en corps astral, le corps astral se sépare, le corps éthérique se sépare, le corps mental se sépare, tu demeures toujours uni à eux autres parce que le contact, il ne se brise pas.

 

Quand le contact ne se brise pas, qu’est-ce que tu as ? 

Tu as une conscience continue. Ça fait que l’homme un jour qui mourra en conscience morontielle, il aura une conscience continue, donc il pourra aller sur tous les plans. Il pourra aller en haut astral, en bas astral, puis il pourra sortir du plan astral, aller dans les mondes morontiels, mais il aura toujours conscience d’ÊTRE.

 

Ça veut dire quoi ça, avoir conscience d’ÊTRE ? 

Il dit: Ça veut dire avoir une conscience perpétuelle. Les morts n’ont pas de conscience perpétuelle. 

 

Ça fait que quand tu n’as pas de conscience perpétuelle, qu’est-ce que tu es ?

Il dit : Quand tu n’as pas de conscience perpétuelle, tu ne peux pas comprendre l’homme et à ce moment-là tu l’utilises. C’est pour ça qu’ils disent que les morts c’est des vampires. Que ce soit sur les hauts plans astraux, que ce soit sur les bas inférieurs de l’astral, un mort ça utilise toujours l’homme, puis c’est pour ça qu’on reçoit des pensées, puis les pensées viennent du monde astral, du monde de la mort. Les pensées qu’on a, l’énergie, la pensée qui est ici, puis qui vient des plans astraux est utilisée par eux autres pour nous mettre en vibration. Mais la pensée elle-même, essentiellement, sa structure, son architecture, elle vient toujours du monde astral.

 

Si l’homme était en conscience morontielle, l’homme ne penserait jamais, il aurait toujours une conscience télépathique avec le plan mental. L’homme n’aurait pas de conscience réflective, il aurait une conscience télépathique avec eux autres. 

 

Ayant une conscience télépathique avec eux autres, qu’est-ce que c’est qui se produirait ? 

Il dit : L’homme ne s’engagerait jamais, jamais à penser, il s’engagerait toujours à parler avec, à communiquer avec eux autres. Ça fait que ta maison brûle tu parles avec eux autres, ton enfant meurt tu parles avec eux autres. 

 

Ça fait quoi ça parler avec eux autres ? 

Ça veut dire faire une étude de ton expérience. 

 

Faire une étude de ton expérience, ça amène à quoi ?

Ça amène à la dépolarisation de tes émotions. 

 

Dépolarisation de tes émotions ça fait quoi ? 

Ça t’amène éventuellement à ne plus penser, ça t’amène à avoir une conscience télépathique. C’est ça que j’appelle la conscience évolutionnaire, la conscience supramentale, donnez les noms que vous voulez, il faut que je donne des noms dans mes livres mais dans le fond, c’est ça que ça fait. Il faut qu’on en arrive un jour à pouvoir instantanément faire des études de nos expériences. Mais l’homme en général, ça ne finit plus l’étude de ses expériences, puis il revient toujours dans l’expérience, l’expérience, l’expérience, puis l’expérience, c’est pour ça que notre croissance est longue, l’évolution de l’humanité est longue, l’évolution des peuples est longue, puis l’évolution de l’individu ne se finit plus. Il n’y a pas de raison qu’on ne comprenne rien, puis il n’y a pas de raison qu’on ne comprenne pas tout.

 

Mais il faut une communication avec eux autres pour comprendre tout. Comprendre la mort, il faut leur parler, comprendre les morts, il faut leur parler. Comprendre nos pensées, comment ça marche, la magnétisation de notre mental, de notre ego, il faut leur parler, il faut qu’ils nous l’expliquent. C’est évident, quand ils nous l’expliquent au début, ça ne fait pas notre affaire parce que ça déshumanise notre ego. Avant on avait un libre arbitre, là on s’aperçoit qu’on ne l’a plus. Avant on croyait au libre arbitre, là on s’aperçoit que ce n’est pas la liberté, le libre arbitre. Ça fait qu’on a des choses à apprendre. C’est pour ça que l’évolution de la conscience supramentale sur la Terre, ça va être très long, ça va être long au niveau de l’humanité, puis ça va être moins long au niveau individuel. Mais au moins sur le plan individuel ça va se faire, mais ça va toujours demeurer sur le plan individuel. Il n’y aura jamais une humanité supramentale, oubliez ça, il y aura des individus conscients. 

 

Mais qu’est-ce que c’est qui nous manque en tant qu’homme ?

Il nous manque cette liberté de mettre le doigt sur notre profondeur, de plonger dans ce vaste océan-là qui est la conscience universelle, puis aller chercher l’information dont on a besoin pour vivre, pour comprendre le monde. Moi dans mon travail, il faut que je connaisse, il faut que je sois capable d’aller vous voir puis de vous dire : Bon toi, telle affaire, telle affaire, telle affaire. Mais ça, ça fait partie du contact avec les plans, ça ne vient pas de ta poche.

 

 Il dit : C’est bien important que l’homme comprenne un jour que la pensée en soi, n’est pas utile.

Si vous ne comprenez pas que la pensée en soi n’est pas utile, vous allez toujours lui donner une valeur. Vous donnez une valeur à votre pensée, vous allez polariser. Ton gars meurt en dessous des rues d’un Taxi Driver à Montréal, si tu donnes de la valeur à la pensée, si tu n’es pas capable de comprendre que la pensée en soi n’a pas de valeur, tu vas lui donner de la valeur à ta pensée, tu vas polariser, tu vas vivre des émotions puis tu vas vivre toutes sortes de choses. La pensée en soi, ça n’a pas de valeur. 

 

Ça fait que ça sert à quoi ? 

Il dit : Ça sert simplement à vous faire souffrir, c’est ça l’involution. Puis ça vous permet d’évoluer, parce que le corps mental évolue, le corps émotionnel évolue, on a des pensées plus subtiles, plus sophistiquées aujourd’hui qu’on avait il y a 3000 ans. Mais si vous ne comprenez pas que la pensée n’a pas de valeur, vous ne pourrez jamais en arriver à saisir la polarité de votre mental, le pouvoir de vos émotions sur votre esprit qui est abominable. Quand vous avez des souffrances, vous n’êtes pas capable de payer votre loyer, votre blonde vous sacre-là (Laisse-là) puis vous avez toutes sortes de choses dans la vie, regardez bien vos pensées, checker (Vérifier) ça cette affaire- là. Ne faites-vous pas prendre dans la game (Jeu).

 

Avec le temps, vous allez devenir de plus en plus habile. Puis éventuellement vous allez avoir une conscience de plus en plus continue, puis éventuellement vous allez devenir télépathique, vous allez devenir psychique, vous allez devenir voyant, vous allez devenir intelligent, vous allez devenir volontaire. Vous allez pouvoir prendre des décisions qui sont fondées sur votre réalité au lieu de prendre des décisions qui sont fondées sur votre ego. On ne peut pas comprendre la vie par philosophie puis à travers l’ésotérisme. Ce n’est plus assez pour l’homme l’ésotérisme.  

 

Il dit : Une fois que vous comprenez la vie, il n’y a plus rien que vous ne pouvez plus comprendre. Pourquoi ? Parce qu’à ce moment-là vous avez le doigt dans votre propre conscience océanique, dans votre propre profondeur, vous avez toujours accès à eux autres, ils sont toujours là eux autres.

 

Moi je me rappelle au début de mon initiation en 69, au début de la fusion, dans ce temps-là, ce n’est plus comme ça aujourd’hui, mais dans ce temps-là c’était 24 heures par jour la parlotte avec eux autres pour dépolariser mon mental, je leur disais : Sacrament, vous ne dormez jamais vous autres. (Rires du public). Ils disaient : Dormir c’est bon pour toi. 3 heures du matin, 5 heures du matin, 6 heures du matin, 24 heures par jour, je pouvais bien avoir les yeux grands comme une assiette. Donnez-moi un break (Arrêt).

 

Puis l’autre bout niaiseux là, parce qu’on est niaiseux, on ne connaît pas la game (Jeu) là, tu commences, tu parles avec eux autres parce qu’ils sont toujours là les grands chums pendant des années puis des années puis des années, puis un jour, ils ont coupé le contact. Paf. Je m’ennuyais comme un veau. (Rires du public). Une minute ils ont coupé le contact, j’étais comme un veau, je me rappelle, j’étais à Vancouver, j’avais des grosses larmes. Ils ont dit : On va te casser les pieds encore pour 3 ans. Ça pris sept ans là, avant que je puisse supporter l’absence de contact télépathique avec eux autres là, puis commencer à vivre dans le vide, ça m’a pris sept ans. Puis aujourd’hui je connecte avec eux autres quand je veux. Ça fait que la pensée, on va vous en donner d’autres aspects de la pensée.

 

Ils disent : Que la pensée c’est une intervention cosmique dans l’individualité de l’homme, c’est une intervention. Il dit : On pourrait vous envoyer des pensées techniquement, on pourrait vous envoyer des pensées tellement puissantes que vous changeriez le cours de la civilisation. Les génies, c’est ça. Des gars comme Einstein puis Fermi, tous ces gars-là, Victor Hugo puis je ne sais pas, toute le gang de brillants qui ont donné un cours à notre civilisation, ça vient des plans. Mozart qui a quatre ans qui fait ses sonates, ça ne venait pas de sa poche ça.

 

Oubliez ça le code génétique. Ça fait que s’ils voulaient faire réellement avancer une humanité ou amener des hommes dans le monde pour faire accélérer la civilisation humaine, il y aurait simplement à convecter (Convertir) l’homme avec des pensées, puis certainement qu’éventuellement ça va se produire. Il va y avoir des hommes qui vont avoir des cerveaux tellement incroyables, tellement extraordinaires qu’ils vont totalement bousculer la civilisation, ça va venir ça dans l’évolution. Il y a un temps pour ça, mais il faut que l’homme soit capable de recevoir ça, cette énergie-là. Puis il faut qu’il soit capable de composer avec cette énergie-là, cette énergie-là au niveau émotionnel, sans ça tu capotes.

 

Regarde, comment est-ce qu’il s’appelle là, le physicien à Cambridge, comment est-ce qu’il s’appelle ? Hawking, Hawking il a tout le corps d’écrissé mais il a des niveaux de conscience intellectuelle, de physique théorique extraordinaires. Il est probablement le seul gars dans le monde qui pense de même. Mais pour pouvoir recevoir ces pensées-là, ils sont obligés de totalement affaiblir son corps physique pour que ça puisse se restituer totalement au niveau du mental, mais il va falloir un jour, que des hommes puissent recevoir cette puissante pensée-là, puis avoir une vie normale au lieu d’avoir une vie avec des karmas abominables, c’est une insulte à l’intelligence de l’homme, ça.

 

Des gars comme Hacking, c’est abominable, ça me fait chier rien que d’y penser, tabarnak. Moi, il ne faut pas que je parle trop de ça avec eux autres, parce que je viens en furie, et ça c’est des karmas de race, c’est des karmas individuels, ça fait partie de la vie. J’ai dit, je disais : Combien de temps le monde, l’univers, ça vient d’où, quand est-ce que ça a commencé l’univers ? Ça n’a pas commencé l’univers. Ça fait des années que je dis que ça n’a pas commencé l’univers. Là ils commencent à développer des théories mathématiques pour prouver que l’univers n’a pas commencé. Il y a eu un Big Bang puis avant ça il y avait d’autres Big Bang, puis il va y avoir un autre Big Bang après.

 

Puis là, nous autres on veut entendre en tant que scientistes là, absolument cerner les Big Bang, on veut absolument donner une infinité à la réalité, une finitude à la réalité. Il n’y en a pas de finitude à la réalité. Donner une finitude à la réalité, c’est incorporer dans la mémoire de la conscience cosmique sur la Terre à travers un cerveau imprimé de lumière, une virtuosité qui est fondamentalement en erreur, parce que le phénomène, le cosmique, la réalité, le Tout, appelez ça comme vous voulez, cette chose qui s’exprime de toutes les manières, ça ne fait pas partie de ce que l’homme a besoin de comprendre. C’est un phénomène qui est à part, la réalité c’est à part. La seule partie, la seule chose que l’homme peut comprendre dans la réalité, c’est sa connexion à lui, personnelle, avec cette infinité-là. Si l’homme veut essayer de comprendre, ça appartient à lui, par rapport à l’infinité, et extrapolise sur ça à l’infinité, ben éventuellement il va capoter.

 

Pourquoi ? 

Parce que tu ne peux pas penser des concepts qui par eux-mêmes neutralisent l’infinité. On va le comprendre ça un jour. Pourquoi est-ce que je dis que la pensée, c’est une illusion nécessaire, que l’homme un jour va arrêter de penser, que l’homme va rentrer en conscience télépathique. Tu commences à leur poser des questions aux autres sur l’origine des temps, puis l’origine des espaces, puis l’origine de l’énergie, ils vont dire : Ce n’est pas de tes affaires. Ça c’est une réponse intelligente, ce n’est pas de tes affaires. S’ils commencent à te donner des réponses de tout ça, à leur niveau, dans ton corps physique, ben tu finis paraplégique, c’est sûr.

 

Parce qu’on est niaiseux, pourquoi est-ce qu’on est niaiseux ? 

On est niaiseux, pas parce qu’on n’est pas intelligent, on est niaiseux parce qu’on a un ego qui réfléchit puis qui veut tout comprendre, alors qu’on devrait avoir un ego qui ne réfléchit pas et qui sait tout. 

 

Ça veut dire quoi ça, savoir tout ? 

Ça veut dire accéder à ce que tu as besoin pour toi, de savoir, c’est tout.

 

Moi si tu poses une question, on me donne une réponse, tu me poses une question, on me donne une réponse, si tu poses une question, on me donne une réponse, mais moi je n’en ai pas de questions. Parce que je ne veux rien savoir, je ne veux rien comprendre, je suis content de ne rien comprendre. C’est une illusion de l’ego. Mais quand tu es rendu que tu es content de rien comprendre puis tu ne veux rien comprendre, c’est là que tu comprends, tu commences à savoir. 

 

Puis savoir, ça veut dire quoi ? 

Savoir, ça veut dire pouvoir accéder instantanément à cette grande Conscience là, selon le besoin. Toi, tu en as besoin, je vais aller le chercher, toi tu as besoin, je vais aller le chercher, moi je n’ai pas besoin, je ne pense pas. C’est la seule différence entre moi et vous autres. Ce n’est pas parce que je suis plus intelligent que vous autres, c’est parce que je veux moins en savoir que vous autres. Puis j’en sais plus que vous. Mais ça, c’est dur à comprendre. 

 

Il dit: Si l’homme savait que sa vie est toujours en opposition avec ce qu’il doit devenir, il comprendrait ce qu’il doit devenir. Si l’homme savait que sa vie est en opposition avec ce qu’il doit devenir, il serait toujours en évolution vers un devenir. Mais on ne le sait pas que notre vie est en opposition avec notre devenir, on pense que notre vie, ça devra être ce qu’on veut. La vie elle ne peut pas être ce qu’on veut. Si la vie était ce qu’on veut, moi je voudrais être millionnaire, si je voulais être millionnaire je voudrais être sur la plage, je ne viendrais jamais ici donner une crisst de conférence en fin de semaine, c’est sûr. Je ne suis pas un con. Ça fait qu’il faut que je sois pauvre un p’tit peu pour parler (Rires du public). Mais quand je suis pauvre, je ne suis pas pauvre, j’ai toujours ce que j’ai besoin, ça fait que c’est comme ça que ça marche. Ça fait que regardez ça l’affaire, la pensée ça flatte, eux autres sont ici, nous autres on est ici, puis ils prennent celle-là puis ils te l’envoient, toi tu pogne, alors tu es polarisé.

 

Donc l’ego vibre, tu es en conscience expérientielle. Si tu étais intelligent tu commencerais à faire l’étude de ton expérience. Pour faire l’étude de ton expérience, il faut que tu sois bien proche de ton mental, tu peux commencer à faire de l’écriture comme elle a fait, sur du papier, c’est bon. Mais ce n’est pas fini, un jour vous n’aurez pas besoin de faire avec du papier, vous devrez être capable de savoir instantanément, rien qu’en conscience télépathique.

 

Avez-vous des questions ? Puis gênez-vous pas hein, avec moi au niveau de vos questions, parce que vos questions sont bien plus importantes que vous le pensez. Moi je pars toujours de l’universel vers le particulier, mais avec vous autres, je pars du particulier vers l’universel, puis j’apprends, puis vous apprenez bien plus en me posant des questions que vous pouvez apprendre, moi quand je vous parle, parce que c’est trop large ça. Tandis que quand vous me posez des questions, vous prenez tout, on va chercher là-dedans des réponses qu’on n’aurait pas pensé avant, ça fait que vos questions sont bien importantes. Puis le monde (Les gens) qui sont gelés là, qui pensent qu’ils ne sont pas assez avancés pour poser des questions à un gars comme moi là, faites-la sauter cette illusion-là, puis quand vous allez la faire sauter cette illusion-là, ça va avoir des salles avec des réponses bien, bien intéressantes.

 

Question : Un enfant, à partir de quel âge il est polarisé ?

 

BdeM : À partir de l’ego, probable, sept ans. L’école là, sept ans, la polarisation.

 

Question : Avant ça, il n’est pas polarisé ?

 

BdeM : Il est polarisé avant ça, mais c’est parce qu’avant ça, un enfant il est très, très contrôlé par les forces spirituelles. Mais à sept ans, les forces spirituelles lâchent le job pour que l’ego se développe. Si les forces spirituelles ne se retiraient pas de la conscience d’un enfant, tu as un enfant à dix, quinze, vingt ans qui serait gaga. Ça fait que, l’ego commence à se développer à sept ans, les forces spirituelles se retirent, puis c’est à ce moment-là que la polarisation commence, parce que les parents ne savent pas réellement comment ça marche la conscience, ça fait que l’enfant se polarise, puis on grandit avec ça, puis ça reste avec nous autres.

 

Question : Dans tout ça quand même, la peur jour un rôle très, très négatif ?

 

BdeM : C’est sûr, c’est sûr. Mais la peur, elle joue un rôle négatif, mais elle joue aussi un rôle de protection. Tu rentres dans une cage avec un lion, il faut que tu aies un petit peu peur, sans ça tu vas te faire manger. Puis à part tout ça, il y a des peurs qui sont réellement subjectives qui ne devraient pas être, puis ça, ça fait partie de notre polarisation. Puis plus on élimine ces peurs-là, plus on rentre dans notre essence, puis plus on rentre dans notre volonté, dans notre créativité, puis plus on va loin dans notre profondeur, puis plus on a des vies qui sont réellement à la mesure de notre faiblesse. La peur c’est très grave, regardez ce qui se passe en Europe avec la peur, c’est très grave la peur, c’est sûr. Oui, question ?

 

Question : (inaudible) Quand on a des choses en dedans c’est voulu ça ?

 

BDM : Ça fait partie de votre expérience, ça fait partie de votre condition aussi. Avec le temps ça s’ajuste… C’est ça… Une autre question ?

 

Question : Pourquoi, quand on reçoit des informations, des fois elles ne restent pas en mémoire, que ça soit dans le rêve ou en éveil ?

 

BdeM : Ça dépend du taux vibratoire, ça dépend de vous autres, ça dépend de votre propre psyché ça. Moi je n’ai pas de mémoire, je reçois l’information, c’est fini. Je ne me rappelle même plus ce que je disais hier soir, j’ai parlé pendant une heure, deux heures, trois heures. Plus on devient vibratoire, moins on a de mémoire, ça ne veut pas dire qu’on n’a plus de mémoire mais ça veut dire que la mémoire n’est plus à la disposition de l’ego comme avant. Il y en a une mémoire, elle est quelque part. D’autres question ?  

 

N’ayez jamais peur de perdre votre mémoire parce que c’est évident que quand votre taux vibratoire change, vous allez en perdre de la mémoire mécanique, puis vous allez vous énerver. Mais dans le fond, c’est une game (Jeu), puis éventuellement ça s’ajuste puis, prenez-vous des petites notes. Si vous êtes trop vibratoire, vous vous en allez au magasin acheter un pain, puis tu risques d’arrivé au magasin, vous avez oublié pourquoi vous êtes venu, pourquoi tu es allé là, alors il faut faire une petite note.

 

Parce qu’un jour, on en arrive à être capable à traiter avec l’absence de mémoire mécanique, j’appelle ça la mémoire mécanique, puis éventuellement tu arrives au magasin, tu t’en rappelles de ton pain. Mais dans le processus de transmutation du corps mental là, il y a quand même une perte de mémoire, ça c’est parce que le taux vibratoire est trop accéléré, puis la réflexion de l’ego est diminuée. Puis l’ego, c’est comme s’il perd ses moyens normaux, d’accaparer les pensées pour les ramener à lui pour avoir une identification avec quelque chose.

 

Question : (inaudible) Dans le milieu du travail par exemple, il n’y a personne (Inaudible) qu’est-ce que fait avec ça ?

 

BdeM : C’est sûr. C’est à vous autres avec le temps d’en arriver à vous comprendre suffisamment puis avoir suffisamment contrôle sur votre énergie pour ne pas la prendre dans la gamr (jeu). Si vous vous faites prendre dans la game, là vous êtes fait à l’os. Puis plus vous allez être conscient, plus vous allez être sensible. Plus vous allez être sensible, si vous vous faites prendre dans la game (Jeu) du travail, vous allez souffrir. Ça fait que faites une bonne gestion de tout ça. Ne faites-vous pas prendre dans la game (Jeu). Le monde est inconscient, le monde est inconscient. Ça fait que si l’homme devient conscient dans un monde inconscient, il va falloir qu’il sache comment gérer ça. Éventuellement, quand vous allez faire une bonne gestion de ça, ben vous allez pouvoir aller n’importe où dans le monde, puis ne pas être affecté. Moi, je suis capable d’être là où il y a des guitounes, ça ne me touche pas pantoute. 

 

Pourquoi ?

Parce que je ne suis plus affecté, mais si j’étais allé dans des clubs de guitounes quand j’étais jeune, là j’aurais été affecté, là j’aurais fait des affaires que j’aurais pas dû faire. Là, j’aurais eu de la culpabilité, là je serais allé voir le curé, je serais allé en confession, puis ça n’arrête plus l’affaire là. Tandis qu’aujourd’hui, conscient comme je suis, je vais dans un club avec des guitounes, ça ne me touche pas. Je suis comme Téflon, je suis réellement Téflon. C’est des jokes (Blagues) que je fais. (Rires du public). J’aime ça mettre du léger

 

Vous ne me trouverez pas dans un club avec des guitounes, c’est pas ma place. Mais un jour, peut-être que si vous autres vous y allez, je peux y aller rien que pour voir comment est-ce que vous allez réagir (Rires du public). Vous allez dire : Ah Bernard de Montréal, il va dans un club de guitounes (Rires du public). Si vous êtes bien spirituels là, vous allez être énervés. Encore une autre joke (Blague). J’ai fini, bye. (Applaudissements)